Il s'agit là de la première confirmation quasi certaine d'une transmission humaine du virus H5N1 avec apparition de la maladie. Les experts ont conclu que celle-ci pouvait se développer par un contact rapproché avec une personne infectée en étudiant le cas d'une famille du nord de l'île de Sumatra, qui a compté en mai sept morts. "Nous estimons que la première femme est tombée malade et qu'alors plusieurs membres de sa famille se sont occupés d'elle, restant dans la même pièce qu'elle", a expliqué Keiji Fukuda, coordinateur du programme antigrippe de l'OMS.
"Quand elle toussait, ils étaient très proches d'elle, donc il y avait un contact rapproché dans une petite pièce durant de longues heures", a-t-il ajouté. Le spécialiste a estimé qu'il s'agissait d'une "contamination interhumaine limitée et non prolongée". Il a précisé que le virus avait légèrement muté, sans considérer cela comme inquiétant.
UNE MUTATION SANS DANGER
"Nous n'avons pas constaté d'évolution dans la mutation du virus (...) qui changerait la transmissibilité du virus. Il y a une légère mutation, mais tous les virus grippaux mutent sans cesse", a détaillé l'expert japonais.
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"Quand elle toussait, ils étaient très proches d'elle, donc il y avait un contact rapproché dans une petite pièce durant de longues heures", a-t-il ajouté. Le spécialiste a estimé qu'il s'agissait d'une "contamination interhumaine limitée et non prolongée". Il a précisé que le virus avait légèrement muté, sans considérer cela comme inquiétant.
UNE MUTATION SANS DANGER
"Nous n'avons pas constaté d'évolution dans la mutation du virus (...) qui changerait la transmissibilité du virus. Il y a une légère mutation, mais tous les virus grippaux mutent sans cesse", a détaillé l'expert japonais.
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