En grève depuis 7h30 ce jeudi, plusieurs centaines de salariés d'Airbus bloquaient l'accès aux différents sites toulousains de l'avionneur pour protester contre le programme de vente de sites, et "les différences de traitement" entre l'Allemagne et la France.
"A partir du moment où les sites ne sont pas vendus en Allemagne, si l'on s'en tient aux promesses qui nous ont été faites par Louis Gallois et par Nicolas Sarkozy fraîchement élu président de la République, il n'y a pas de raison que les sites français soient vendus", a déclaré Jean-François Knepper, délégué syndical central FO Airbus France, en envisageant "un durcissement du mouvement si les promesses ne sont pas tenues".
Ce mouvement de grève dans toutes les usines françaises du constructeur européen entre 7h30 et 11h30 a été voté à l'unanimité mardi par l'intersyndicale composée des organisations Force ouvrière, CGT, CFTC, CFDT, CFE-CGC.
Il fait suite à l'annonce par Airbus de la création d'une filiale, German Aerostructure Company, regroupant trois de ses quatre sites allemands alors que le processus de vente de ses usines de Méaulte et de Saint-Nazaire Ville par le toulousain Latécoère, et du site de Filton en Angleterre par le britannique GKN se poursuit.
Source: news.yahoo.com
"A partir du moment où les sites ne sont pas vendus en Allemagne, si l'on s'en tient aux promesses qui nous ont été faites par Louis Gallois et par Nicolas Sarkozy fraîchement élu président de la République, il n'y a pas de raison que les sites français soient vendus", a déclaré Jean-François Knepper, délégué syndical central FO Airbus France, en envisageant "un durcissement du mouvement si les promesses ne sont pas tenues".
Ce mouvement de grève dans toutes les usines françaises du constructeur européen entre 7h30 et 11h30 a été voté à l'unanimité mardi par l'intersyndicale composée des organisations Force ouvrière, CGT, CFTC, CFDT, CFE-CGC.
Il fait suite à l'annonce par Airbus de la création d'une filiale, German Aerostructure Company, regroupant trois de ses quatre sites allemands alors que le processus de vente de ses usines de Méaulte et de Saint-Nazaire Ville par le toulousain Latécoère, et du site de Filton en Angleterre par le britannique GKN se poursuit.
Source: news.yahoo.com