"On fera une réunion de concertation mensuelle" avec les participants au Grenelle", a-t-il annoncé devant la presse.
"Onéprouve le besoin de se voir avec les cinq collèges (Etat,collectivités locales, représentants du patronat et des syndicats etassociations écologistes, ndlr) tous les mois pour qu'il n'y ait pasd'inquiétude sur les avancées du processus", a-t-il assuré.
Lamise en oeuvre des premières décisions du Grenelle a suscité desfrictions avec les écologistes et les syndicats qui ont reproché augouvernement un manque de concertation et une réduction des ambitions.
Mardi,Nicolas Sarkozy à tenu à préciser lors d'un voyage sur le thème del'environnement en Camargue que les engagements du Grenelle del'environnement "seront scrupuleusement respectés".
M. Borloo s'est efforcé de désamorcer mercredi les points de conflits potentiels.
Ainsi,sur la question passionnelle des OGM, il a assuré que le gouvernementsuivrait l'avis qui sera rendu le 11 janvier par le comité depréfiguration de la Haute autorité concernant le maïs Mon 810, seul OGMcultivé en France. "Le principe de précaution s'appliquera", a-t-ilassuré, et le gouvernement pourrait décider d'activer la clause desauvegarde à Bruxelles en fonction de cet avis.
Les écologistesqui souhaitaient un moratoire sur les cultures de maïs OGM en France,n'ont pas apprécié que le gouvernement décide un simple gel jusqu'au 9février des semis de maïs OGM, le temps d'adopter une nouvelle loi.
Letexte de cette loi a été présenté mercredi en Conseil des ministres etil devrait arriver au Parlement "autour du 15 janvier", a précisé M.Borloo.
Selon le ministre, ce texte qui "a fait l'objet d'uneconcertation avec les ONG, reprend les conclusions du Grenelle", enprévoyant la création d'une Haute autorité et en instaurant lesprincipes de transparence, de responsabilité et d'indemnisation.
Autrepoint chaud, le bonus-malus, visant à pénaliser les voitures les pluspolluantes mais qui ne porte que sur l'achat du véhicule au lieu de lataxe annuelle annoncée: "le malus sera annualisé dans la loi duGrenelle 1", a promis M. Borloo.
Dominique Bussereau, secrétaired'état aux Transports est revenu de son côté sur la question d'uneéventuelle compensation aux routiers frappés par une écotaxe surl'utilisation du réseau routier et autoroutier non concédé.
"Ilne s'agit pas de verser une compensation à l'euro près mais de regardercomment nous pourrions ne pas mettre nos entreprises et nos emplois endifficulté" par rapport à la concurrence étrangère, a-t-il déclaré.
Concrètement,33 chantiers opérationnels ont été lancés afin de concrétiser lesdécisions du Grenelle de l'environnement et commenceront à rendre leurspremiers travaux en janvier, a annoncé Jean-Louis Borloo.
"On rentre dans la vraie vie, ça va être des milliers de petites choses à faire", a-t-il lancé.
Lespremiers éléments devront être intégrés dans le projet de loid'orientation "Grenelle 1" avant le 9 février et un deuxième texte, le"Grenelle 2", en mars à la reprise de la session parlementaire.
Et "globalement, le Grenelle sera évalué une fois par an à la date anniversaire", a précisé le ministre.
"Onéprouve le besoin de se voir avec les cinq collèges (Etat,collectivités locales, représentants du patronat et des syndicats etassociations écologistes, ndlr) tous les mois pour qu'il n'y ait pasd'inquiétude sur les avancées du processus", a-t-il assuré.
Lamise en oeuvre des premières décisions du Grenelle a suscité desfrictions avec les écologistes et les syndicats qui ont reproché augouvernement un manque de concertation et une réduction des ambitions.
Mardi,Nicolas Sarkozy à tenu à préciser lors d'un voyage sur le thème del'environnement en Camargue que les engagements du Grenelle del'environnement "seront scrupuleusement respectés".
M. Borloo s'est efforcé de désamorcer mercredi les points de conflits potentiels.
Ainsi,sur la question passionnelle des OGM, il a assuré que le gouvernementsuivrait l'avis qui sera rendu le 11 janvier par le comité depréfiguration de la Haute autorité concernant le maïs Mon 810, seul OGMcultivé en France. "Le principe de précaution s'appliquera", a-t-ilassuré, et le gouvernement pourrait décider d'activer la clause desauvegarde à Bruxelles en fonction de cet avis.
Les écologistesqui souhaitaient un moratoire sur les cultures de maïs OGM en France,n'ont pas apprécié que le gouvernement décide un simple gel jusqu'au 9février des semis de maïs OGM, le temps d'adopter une nouvelle loi.
Letexte de cette loi a été présenté mercredi en Conseil des ministres etil devrait arriver au Parlement "autour du 15 janvier", a précisé M.Borloo.
Selon le ministre, ce texte qui "a fait l'objet d'uneconcertation avec les ONG, reprend les conclusions du Grenelle", enprévoyant la création d'une Haute autorité et en instaurant lesprincipes de transparence, de responsabilité et d'indemnisation.
Autrepoint chaud, le bonus-malus, visant à pénaliser les voitures les pluspolluantes mais qui ne porte que sur l'achat du véhicule au lieu de lataxe annuelle annoncée: "le malus sera annualisé dans la loi duGrenelle 1", a promis M. Borloo.
Dominique Bussereau, secrétaired'état aux Transports est revenu de son côté sur la question d'uneéventuelle compensation aux routiers frappés par une écotaxe surl'utilisation du réseau routier et autoroutier non concédé.
"Ilne s'agit pas de verser une compensation à l'euro près mais de regardercomment nous pourrions ne pas mettre nos entreprises et nos emplois endifficulté" par rapport à la concurrence étrangère, a-t-il déclaré.
Concrètement,33 chantiers opérationnels ont été lancés afin de concrétiser lesdécisions du Grenelle de l'environnement et commenceront à rendre leurspremiers travaux en janvier, a annoncé Jean-Louis Borloo.
"On rentre dans la vraie vie, ça va être des milliers de petites choses à faire", a-t-il lancé.
Lespremiers éléments devront être intégrés dans le projet de loid'orientation "Grenelle 1" avant le 9 février et un deuxième texte, le"Grenelle 2", en mars à la reprise de la session parlementaire.
Et "globalement, le Grenelle sera évalué une fois par an à la date anniversaire", a précisé le ministre.