Tsipras, sonné par un accord violent, mais pas encore KO en Grèce
L'économiste français Charles Wyplosz, professeur à l'Institut des hautes études internationales et du développement de Genève, généralement modéré, n'en revenait pas : "C'est le couteau sous la gorge (...), une invasion sans les troupes au sol, d'une férocité inouïe (...), je n'aurais jamais imaginé que des chefs d'Etat et de gouvernement se laissent aller à une telle vindicte", s'exclamait-il. (lemainelibre.fr)
Plan d'aide à la Grèce: les points clés d'un accord à l'arraché
Prudente, la chancelière allemande Angela Merkel a souligné que si l'accord trouvé lundi comprend "une large palette de réformes au moyen desquelles, je crois, la Grèce a la chance de revenir sur le chemin de la croissance", "le chemin sera long et, si j'en crois les négociations de cette nuit, difficile". (metronews.fr)
Pour la Grèce, la privatisation, une bonne solution?
Les Grecs étaient prévenus : les Allemands durciraient le ton après le référendum. Dans l'accord qui a été arraché lundi 13 juillet entre le gouvernement Tsipras et ses créanciers, il est prévu un certain nombre de mesures d'austérité, dont certaines n'étaient même pas au programme dans les précédents accords. Il est notamment annoncé la privatisation d'entreprises publiques à hauteur de 50 milliards d'euros, des recettes qui seront gérées par un fonds implanté en Grèce mais supervisé par les institutions européennes. Pour Eric Dor, enseignant à l'Ieseg, "c'est un peu comme si l'on bradait les bijoux de famille".
Grèce : la gauche radicale française dénonce «un coup d'Etat financier»
La pilule ne passe pas plus du côté de Jean-Luc Mélenchon. Le député européen dénonce «un accord négocié le pistolet sur la tempe de Tsípras». Selon lui, le responsable de cette situation est tout trouvé : l’Allemagne. «L’ambiance a été détestable, on voit se dessiner un nouveau visage de l’Europe fait de brutalité et de l’omnipotence du gouvernement allemand. Ils mettent l’Europe en danger pour la troisième fois.»
L'économiste français Charles Wyplosz, professeur à l'Institut des hautes études internationales et du développement de Genève, généralement modéré, n'en revenait pas : "C'est le couteau sous la gorge (...), une invasion sans les troupes au sol, d'une férocité inouïe (...), je n'aurais jamais imaginé que des chefs d'Etat et de gouvernement se laissent aller à une telle vindicte", s'exclamait-il. (lemainelibre.fr)
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Prudente, la chancelière allemande Angela Merkel a souligné que si l'accord trouvé lundi comprend "une large palette de réformes au moyen desquelles, je crois, la Grèce a la chance de revenir sur le chemin de la croissance", "le chemin sera long et, si j'en crois les négociations de cette nuit, difficile". (metronews.fr)
Pour la Grèce, la privatisation, une bonne solution?
Les Grecs étaient prévenus : les Allemands durciraient le ton après le référendum. Dans l'accord qui a été arraché lundi 13 juillet entre le gouvernement Tsipras et ses créanciers, il est prévu un certain nombre de mesures d'austérité, dont certaines n'étaient même pas au programme dans les précédents accords. Il est notamment annoncé la privatisation d'entreprises publiques à hauteur de 50 milliards d'euros, des recettes qui seront gérées par un fonds implanté en Grèce mais supervisé par les institutions européennes. Pour Eric Dor, enseignant à l'Ieseg, "c'est un peu comme si l'on bradait les bijoux de famille".
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La pilule ne passe pas plus du côté de Jean-Luc Mélenchon. Le député européen dénonce «un accord négocié le pistolet sur la tempe de Tsípras». Selon lui, le responsable de cette situation est tout trouvé : l’Allemagne. «L’ambiance a été détestable, on voit se dessiner un nouveau visage de l’Europe fait de brutalité et de l’omnipotence du gouvernement allemand. Ils mettent l’Europe en danger pour la troisième fois.»