Nous voulons augmenter la transparence", a expliqué Peter Fleischer, conseiller de Google pour les données personnelles, lors de la présentation de la page "Government Requests" au siège parisien. "Il y a deux chiffres publiés pour chaque pays : le nombre de demandes d'accès aux données personnelles d'utilisateurs et le nombre de demandes de suppression de contenus", a-t-il poursuivi. Pour séduire et rassurer ses utilisateurs, Google est prêt à envoyer un signal négatif aux gouvernements en exposant au grand jour leurs pratiques sécuritaires, bonnes ou mauvaises. Les gouvernements apprécieront, d'autant plus que Google reste dans la légalité : à aucun moment les enquêtes ne sont compromises, car seules des statistiques sont publiées. Contacté par lepoint.fr mercredi après-midi, le ministère de l'Intérieur n'a pas encore réagi. Deux types de demandes
Les demandes d'accès aux informations personnelles sont envoyées par les autorités d'un pays pour identifier un internaute, ou pour enquêter sur ses activités. Grâce aux traces informatiques conservées sur ses serveurs, Google sait tout de ce qu'un utilisateur a fait au cours des 9 derniers mois : ses recherches Web, ses emails ou encore sa navigation, mais aussi ses lieux de connexion ou la configuration de son ordinateur. Ces données sont très précieuses dans les enquêtes de police, mais leur transmission est très encadrée dans les régimes démocratiques.
Source: lepoint.fr via Yahoo
Les demandes d'accès aux informations personnelles sont envoyées par les autorités d'un pays pour identifier un internaute, ou pour enquêter sur ses activités. Grâce aux traces informatiques conservées sur ses serveurs, Google sait tout de ce qu'un utilisateur a fait au cours des 9 derniers mois : ses recherches Web, ses emails ou encore sa navigation, mais aussi ses lieux de connexion ou la configuration de son ordinateur. Ces données sont très précieuses dans les enquêtes de police, mais leur transmission est très encadrée dans les régimes démocratiques.
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