Google présente son nouveau logo
Pour expliquer sa volonté de changement, Google explique que son logo remonte à l'époque où les recherches étaient faites sur les ordinateurs de bureau, alors qu'aujourd'hui "les gens interagissent avec les produits Google à travers beaucoup de plateformes, applications et appareils différents, parfois le même jour". La nouvelle identité visuelle de Google se veut donc être le reflet de la diversité des modes d'accès à Google, qui "vous montre quand la magie Google fonctionne pour vous, même sur les écrans les plus petits".
"Nous avons pris le logo et la marque de Google, qui étaient faits à l'origine pour une seule page de navigateur sur un ordinateur de bureau, et les avons mis à jour pour un monde d'informatique sans frontières à travers les innombrables appareils et autres types de moyens de saisie (tels que taper, la saisie et la parole)". (numerama.com)
Avec Alphabet, Google n'a rien inventé
Alphabet, le nouveau bébé des co-fondateurs de Google, a été annoncé lundi. Une restructuration majeure des activités de la firme de Mountain View, censée clarifier son éventail d'activités aux yeux des investisseurs. Le nom de cette nouvelle entité n'a pas été choisi au hasard, loin de là. Sauf que déjà, il semble poser problème, aussi bien sur Internet et les réseaux sociaux que du point de vue de la propriété intellectuelle. (lexpansion.lexpress.fr)
Le jour où Google est devenu cyberpunk
Fondée dans le but fou d’organiser « toute l’information de la planète », doublée de la promesse de ne jamais « être mauvais », l’entreprise se tourne désormais vers des recherches ayant un impact sur le monde physique. Et c’est ce qui fait peur. Peur du syndrome de l’apprenti sorcier ; peur d’un géant qui sait presque tout de nos vies privées ; peur, enfin, de voir une société accusée de pratiques anticoncurrentielles et maniant trop efficacement l’optimisation fiscale devenir encore plus incontournable. Il y a aussi, dans ces peurs, une part de fantasmes qui flirte parfois avec la théorie du complot : Google aurait un dessein secret, voudrait remplacer l’humanité par des intelligences artificielles, ou encore « tuer la mort ». (lemonde.fr)
Pour expliquer sa volonté de changement, Google explique que son logo remonte à l'époque où les recherches étaient faites sur les ordinateurs de bureau, alors qu'aujourd'hui "les gens interagissent avec les produits Google à travers beaucoup de plateformes, applications et appareils différents, parfois le même jour". La nouvelle identité visuelle de Google se veut donc être le reflet de la diversité des modes d'accès à Google, qui "vous montre quand la magie Google fonctionne pour vous, même sur les écrans les plus petits".
"Nous avons pris le logo et la marque de Google, qui étaient faits à l'origine pour une seule page de navigateur sur un ordinateur de bureau, et les avons mis à jour pour un monde d'informatique sans frontières à travers les innombrables appareils et autres types de moyens de saisie (tels que taper, la saisie et la parole)". (numerama.com)
Avec Alphabet, Google n'a rien inventé
Alphabet, le nouveau bébé des co-fondateurs de Google, a été annoncé lundi. Une restructuration majeure des activités de la firme de Mountain View, censée clarifier son éventail d'activités aux yeux des investisseurs. Le nom de cette nouvelle entité n'a pas été choisi au hasard, loin de là. Sauf que déjà, il semble poser problème, aussi bien sur Internet et les réseaux sociaux que du point de vue de la propriété intellectuelle. (lexpansion.lexpress.fr)
Le jour où Google est devenu cyberpunk
Fondée dans le but fou d’organiser « toute l’information de la planète », doublée de la promesse de ne jamais « être mauvais », l’entreprise se tourne désormais vers des recherches ayant un impact sur le monde physique. Et c’est ce qui fait peur. Peur du syndrome de l’apprenti sorcier ; peur d’un géant qui sait presque tout de nos vies privées ; peur, enfin, de voir une société accusée de pratiques anticoncurrentielles et maniant trop efficacement l’optimisation fiscale devenir encore plus incontournable. Il y a aussi, dans ces peurs, une part de fantasmes qui flirte parfois avec la théorie du complot : Google aurait un dessein secret, voudrait remplacer l’humanité par des intelligences artificielles, ou encore « tuer la mort ». (lemonde.fr)