"Qui a défendu les droits de l'Homme? Est-ce que c'est le président des Etats-Unis qui disait: 'Attention! C'est inadmissible!" ou "est-ce que c'est la France qui a maintenu le dialogue?", a-t-il lancé. "Nous y avons été avec (le ministre des Affaires étrangères) Bernard Kouchner (...) et un mois après, la guerre avait cessé".
Libération d'Ingrid Betancourt, des infirmières bulgares détenues en Libye, cessez-le-feu en Georgie, pacification au Liban: autant de succès que s'est longuement attribués jeudi Nicolas Sarkozy.
Il a ainsi rappelé qu'il avait invité le président syrien Bachar el-Assad à Paris le 14 juillet malgré les critiques. "Si on n'avait pas pris le risque de la paix et des droits des Libanais à vivre libres en invitant Bachar el-Assad, ce serait toujours la guerre au Liban", a lâché Nicolas Sarkozy.
Il s'est par ailleurs justifié sur le tapis rouge déroulé au leader libyen Moammar Kadhafi. "J'avais promis pendant la campagne électorale qu'on libérerait les infirmières (bulgares détenues en Libye). C'est la France qui les a libérées", a-t-il affirmé.
Quant à l'ex-otage franco-colombienne détenue par les FARC, "est-ce qu'il y avait une chance de la sortir si la France n'avait pas fait d'Ingrid Betancourt un objectif central de sa politique? Aucune!", a-t-il asséné. Pour cela, "j'ai dû recevoir le président Chavez. Original..."
Source: Yahoo News
Libération d'Ingrid Betancourt, des infirmières bulgares détenues en Libye, cessez-le-feu en Georgie, pacification au Liban: autant de succès que s'est longuement attribués jeudi Nicolas Sarkozy.
Il a ainsi rappelé qu'il avait invité le président syrien Bachar el-Assad à Paris le 14 juillet malgré les critiques. "Si on n'avait pas pris le risque de la paix et des droits des Libanais à vivre libres en invitant Bachar el-Assad, ce serait toujours la guerre au Liban", a lâché Nicolas Sarkozy.
Il s'est par ailleurs justifié sur le tapis rouge déroulé au leader libyen Moammar Kadhafi. "J'avais promis pendant la campagne électorale qu'on libérerait les infirmières (bulgares détenues en Libye). C'est la France qui les a libérées", a-t-il affirmé.
Quant à l'ex-otage franco-colombienne détenue par les FARC, "est-ce qu'il y avait une chance de la sortir si la France n'avait pas fait d'Ingrid Betancourt un objectif central de sa politique? Aucune!", a-t-il asséné. Pour cela, "j'ai dû recevoir le président Chavez. Original..."
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