Les manifestations ont été déclenchées après l’annonce faite par le Premier ministre Irakli Kobakhidze le 28 novembre, qui a annoncé que les négociations pour l'adhésion à l'Union européenne ne reprendraient pas avant 2028. Ce retard, perçu comme une trahison par de nombreux Géorgiens, survient dans un contexte post-électoral tendu. En effet, les élections législatives du 26 octobre dernier ont été marquées par de graves accusations de fraude et d'ingérence, notamment de la part de la Russie voisine, donnant lieu à un climat de méfiance et de contestation contre le parti Rêve géorgien, au pouvoir depuis 2012.
Le parti est accusé de favoriser des liens étroits avec la Russie, ce qui entre en contradiction avec les aspirations européennes d'une grande partie de la population. Ces revendications se concentrent sur la demande de réformes politiques et la nécessité d’organiser de nouvelles élections, jugées nécessaires pour restaurer la confiance dans le processus démocratique. La présidente pro-européenne Salomé Zourabichvili, qui soutient les manifestations, a dénoncé ces élections comme étant entachées de fraude.
Le parti est accusé de favoriser des liens étroits avec la Russie, ce qui entre en contradiction avec les aspirations européennes d'une grande partie de la population. Ces revendications se concentrent sur la demande de réformes politiques et la nécessité d’organiser de nouvelles élections, jugées nécessaires pour restaurer la confiance dans le processus démocratique. La présidente pro-européenne Salomé Zourabichvili, qui soutient les manifestations, a dénoncé ces élections comme étant entachées de fraude.
Au fil des jours, les rassemblements se sont intensifiés. Le 1er décembre, des milliers de manifestants se sont rassemblés dans les rues de la capitale Tbilissi et dans d'autres villes, brandissant des drapeaux européens et scandant des slogans hostiles à la Russie. Ce soutien massif à l’adhésion à l’UE a été renforcé par des actes symboliques, tels que des lancés de feux d'artifice contre le parlement, en signe de protestation contre la politique du gouvernement.
Les autorités ont réagi en déployant des forces de police pour disperser les manifestants. Gaz lacrymogènes, canons à eau et arrestations ont été utilisés pour contrôler les foules. Des affrontements ont éclaté, faisant plusieurs blessés, dont des policiers. L’un des événements marquants a été l'attaque de journalistes de la chaîne Pirveli, dont un a été hospitalisé après avoir été battu par les forces de l’ordre.
La situation a attiré l'attention internationale, notamment de l'Union européenne, qui a exprimé son inquiétude concernant la répression des manifestations. Bruxelles, qui avait accordé à la Géorgie le statut de candidat à l'adhésion à l'UE en 2023, a gelé le processus d'intégration en raison du recul démocratique observé dans le pays. Le gouvernement géorgien, pour sa part, a réagi en dénonçant ce qu'il considère comme du « chantage » de la part de l'UE. Le Premier ministre a affirmé que la Géorgie poursuivrait son objectif d'adhésion à l’UE, mais à l’horizon 2030, et a exclu l’organisation de nouvelles élections, malgré les appels de l'opposition et de l'UE.
En France, les autorités ont appelé au respect du droit de manifester pacifiquement, exprimant leur soutien aux aspirations européennes de la Géorgie, qu'elles considèrent comme légitimes. La crise géorgienne s'inscrit dans un contexte géopolitique tendu, notamment en raison des relations complexes entre la Géorgie, la Russie et l'UE. La situation reste incertaine, et les manifestants, malgré la répression, continuent de se mobiliser, espérant voir leurs revendications aboutir.
Les autorités ont réagi en déployant des forces de police pour disperser les manifestants. Gaz lacrymogènes, canons à eau et arrestations ont été utilisés pour contrôler les foules. Des affrontements ont éclaté, faisant plusieurs blessés, dont des policiers. L’un des événements marquants a été l'attaque de journalistes de la chaîne Pirveli, dont un a été hospitalisé après avoir été battu par les forces de l’ordre.
La situation a attiré l'attention internationale, notamment de l'Union européenne, qui a exprimé son inquiétude concernant la répression des manifestations. Bruxelles, qui avait accordé à la Géorgie le statut de candidat à l'adhésion à l'UE en 2023, a gelé le processus d'intégration en raison du recul démocratique observé dans le pays. Le gouvernement géorgien, pour sa part, a réagi en dénonçant ce qu'il considère comme du « chantage » de la part de l'UE. Le Premier ministre a affirmé que la Géorgie poursuivrait son objectif d'adhésion à l’UE, mais à l’horizon 2030, et a exclu l’organisation de nouvelles élections, malgré les appels de l'opposition et de l'UE.
En France, les autorités ont appelé au respect du droit de manifester pacifiquement, exprimant leur soutien aux aspirations européennes de la Géorgie, qu'elles considèrent comme légitimes. La crise géorgienne s'inscrit dans un contexte géopolitique tendu, notamment en raison des relations complexes entre la Géorgie, la Russie et l'UE. La situation reste incertaine, et les manifestants, malgré la répression, continuent de se mobiliser, espérant voir leurs revendications aboutir.