Au moins cinq explosions ont été entendues jeudi près de la ville stratégique géorgienne de Gori alors que le retrait des troupes russes semblait stoppé et que régnait la plus grande confusion sur les mouvements des unités russes.
On ignorait dans l'immédiat si ces déflagrations signalaient la reprise des combats entre soldats russes et géorgiens, mais ces explosions ressemblaient à des tirs d'obus de mortier.
Ces explosion surviennent après une confrontation tendue entre Russes et Géorgiens à un point de contrôle à l'entrée de Gori, la ville natale de Staline, à 100 km à l'ouest de Tbilissi, la capitale. En outre, les responsables géorgiens qui s'étaient rendus dans Gori pour marquer un éventuel retrait russe sont repartis de manière inattendue à la mi-journée.
Alors que dans la matinée, le ministre géorgien de l'Intérieur annonçait que les troupes russes avaient amorcé leur retrait, moins de cinq heures plus tard, le ministère des Affaires étrangères annonçait que des troupes russes étaient à nouveau entrées dans la ville stratégique de Gori et dans le port de Poti sur la mer Noire où la Géorgie dispose d'un terminal pétrolier vital pour son économie fragile.
Par ailleurs, des journalistes de la télévision danoise se trouvant à l'extérieur de Gori avec un représentant du HCR, le Haut-Commissariat de l'ONU pour les réfugiés, ont dit avoir été empêchés de pénétrer en ville par les chars russes. L'un d'eux a vu sa caméra saisie, et des miliciens ossètes ivres ont tiré au sol devant le groupe.
A Poti, une équipe d'APTN a vu un navire géorgien détruit, alors que deux blindés russes et deux camions de transport de troupes étaient sur le port, les soldats s'identifiant comme membres de la force de paix russe en Ossétie du sud. En lisière de la ville, un peu plus tôt, un autre convoi russe fouillait une forêt à la recherche de matériel militaire géorgien.
Source: Yahoo News
On ignorait dans l'immédiat si ces déflagrations signalaient la reprise des combats entre soldats russes et géorgiens, mais ces explosions ressemblaient à des tirs d'obus de mortier.
Ces explosion surviennent après une confrontation tendue entre Russes et Géorgiens à un point de contrôle à l'entrée de Gori, la ville natale de Staline, à 100 km à l'ouest de Tbilissi, la capitale. En outre, les responsables géorgiens qui s'étaient rendus dans Gori pour marquer un éventuel retrait russe sont repartis de manière inattendue à la mi-journée.
Alors que dans la matinée, le ministre géorgien de l'Intérieur annonçait que les troupes russes avaient amorcé leur retrait, moins de cinq heures plus tard, le ministère des Affaires étrangères annonçait que des troupes russes étaient à nouveau entrées dans la ville stratégique de Gori et dans le port de Poti sur la mer Noire où la Géorgie dispose d'un terminal pétrolier vital pour son économie fragile.
Par ailleurs, des journalistes de la télévision danoise se trouvant à l'extérieur de Gori avec un représentant du HCR, le Haut-Commissariat de l'ONU pour les réfugiés, ont dit avoir été empêchés de pénétrer en ville par les chars russes. L'un d'eux a vu sa caméra saisie, et des miliciens ossètes ivres ont tiré au sol devant le groupe.
A Poti, une équipe d'APTN a vu un navire géorgien détruit, alors que deux blindés russes et deux camions de transport de troupes étaient sur le port, les soldats s'identifiant comme membres de la force de paix russe en Ossétie du sud. En lisière de la ville, un peu plus tôt, un autre convoi russe fouillait une forêt à la recherche de matériel militaire géorgien.
Source: Yahoo News