Nick Reilly a également déclaré à des journalistes lors du salon automobile de Détroit que la filiale européenne de General Motors avait vendu autour d'1,2 million de véhicules l'an dernier.
Une niveau qui sera difficile de maintenir cette année, a-t-il ajouté.
"Je pense que la plupart des gens estiment que (l'économie) va un peu rebondir, mais pas très fortement," a indiqué Nick Reilly en faisant référence à 2010.
"Il y a eu des mesures incitatives exceptionnelles en faveur du marché automobile, particulièrement en Allemagne, qui ont dopé (ce) marché de manière passagère et ont avancé des ventes de 2010 à 2009. Nous allons en payer le prix cette année", a-t-il déclaré.
"Dans cette situation, il sera difficile pour nous de maintenir le même niveau de volumes en 2010 que ce que nous avons eu en 2009".
Le directeur général de GM Europe a précisé que le recul des ventes de son groupe, qui a failli être cédé l'an dernier avant que GM ne décide finalement de conserver sa filiale européenne, devrait être compris "entre zéro et cinq pourcents", mais a souligné qu'il "pourrait faire mieux que cela".
Nick Reilly estime par ailleurs que les modèles Astra, Insignia et la nouvelle Meriva devraient aider GM Europe à accroître sa part de marché.
Il a ajouté que le marché d'Europe de l'ouest devrait afficher un recul compris entre un et un million et demi de véhicules cette année.
Il a par ailleurs confirmé que GM Europe envisageait toujours de présenter un plan de restructuration d'ici la fin du mois de janvier, et a dit qu'aucune décision sur une éventuelle fermeture du site belge d'Anvers n'avait encore été prise.
Opel a indiqué qu'il envisageait de supprimer près de 8.300 emplois sur les quelque 50.000 que comptent ses effectifs dans le cadre d'un plan de réorganisation de 3,3 milliards d'euros, pour lequel le groupe tente d'obtenir des aides publiques de la part des pays où ses usines sont implantées, dont l'Allemagne, le Royaume-Uni, l'Espagne et la Pologne.
En l'espèce, Nick Reilly a indiqué que les discussions avec tous les gouvernements concernées étaient en cours.
Source: Reuters via Yahoo News
Une niveau qui sera difficile de maintenir cette année, a-t-il ajouté.
"Je pense que la plupart des gens estiment que (l'économie) va un peu rebondir, mais pas très fortement," a indiqué Nick Reilly en faisant référence à 2010.
"Il y a eu des mesures incitatives exceptionnelles en faveur du marché automobile, particulièrement en Allemagne, qui ont dopé (ce) marché de manière passagère et ont avancé des ventes de 2010 à 2009. Nous allons en payer le prix cette année", a-t-il déclaré.
"Dans cette situation, il sera difficile pour nous de maintenir le même niveau de volumes en 2010 que ce que nous avons eu en 2009".
Le directeur général de GM Europe a précisé que le recul des ventes de son groupe, qui a failli être cédé l'an dernier avant que GM ne décide finalement de conserver sa filiale européenne, devrait être compris "entre zéro et cinq pourcents", mais a souligné qu'il "pourrait faire mieux que cela".
Nick Reilly estime par ailleurs que les modèles Astra, Insignia et la nouvelle Meriva devraient aider GM Europe à accroître sa part de marché.
Il a ajouté que le marché d'Europe de l'ouest devrait afficher un recul compris entre un et un million et demi de véhicules cette année.
Il a par ailleurs confirmé que GM Europe envisageait toujours de présenter un plan de restructuration d'ici la fin du mois de janvier, et a dit qu'aucune décision sur une éventuelle fermeture du site belge d'Anvers n'avait encore été prise.
Opel a indiqué qu'il envisageait de supprimer près de 8.300 emplois sur les quelque 50.000 que comptent ses effectifs dans le cadre d'un plan de réorganisation de 3,3 milliards d'euros, pour lequel le groupe tente d'obtenir des aides publiques de la part des pays où ses usines sont implantées, dont l'Allemagne, le Royaume-Uni, l'Espagne et la Pologne.
En l'espèce, Nick Reilly a indiqué que les discussions avec tous les gouvernements concernées étaient en cours.
Source: Reuters via Yahoo News