Invité dans une émission;François Bayrou a décrit "un parti coupé en deux", rongé par "des sentiments de haine réciproque entre les deux camps". "Il y a en tout cas là les germes de quelque chose de très grave et de très lourd pour un parti qui (...) est en fin de cycle."
"Désormais, on est au bord des tribunaux", a-t-il noté. "Quand on va au tribunal et qu'on est un mouvement politique, ça veut dire qu'on atteint le bout du bout, le coma dépassé", a souligné le président du MoDem.
Dès lors, "je me sens la responsabilité d'offrir un espoir, des idées et un rassemblement possible à ces millions de Français qui cherchent et ne trouvent plus", a expliqué le leader centriste, qui a de nouveau estimé que seul un candidat socialiste ou un "démocrate" pourrait accéder au second tour de la prochaine élection présidentielle "face à Nicolas Sarkozy".
Au passage, François Bayrou a égratigné Martine Aubry, qui a accepté de travailler avec des élus du MoDem à Lille mais refuse cette perspective au niveau national. A l'opposé, Ségolène Royal a accepté "l'idée de faire bouger les lignes un jour", a-t-il noté avec satisfaction.
L'ancien ministre a encore jugé que la multiplication des contestations du vote et les menaces d'actions en justice était "mauvaise pour toute la démocratie française". "Ca donne de la politique un spectacle et un écho qui sont désespérants, décourageants", alors que "ce dont nous avons besoin, c'est au contraire d'une mobilisation et d'un engagement civiques", a-t-il estimé.
Source: Yahoo News
"Désormais, on est au bord des tribunaux", a-t-il noté. "Quand on va au tribunal et qu'on est un mouvement politique, ça veut dire qu'on atteint le bout du bout, le coma dépassé", a souligné le président du MoDem.
Dès lors, "je me sens la responsabilité d'offrir un espoir, des idées et un rassemblement possible à ces millions de Français qui cherchent et ne trouvent plus", a expliqué le leader centriste, qui a de nouveau estimé que seul un candidat socialiste ou un "démocrate" pourrait accéder au second tour de la prochaine élection présidentielle "face à Nicolas Sarkozy".
Au passage, François Bayrou a égratigné Martine Aubry, qui a accepté de travailler avec des élus du MoDem à Lille mais refuse cette perspective au niveau national. A l'opposé, Ségolène Royal a accepté "l'idée de faire bouger les lignes un jour", a-t-il noté avec satisfaction.
L'ancien ministre a encore jugé que la multiplication des contestations du vote et les menaces d'actions en justice était "mauvaise pour toute la démocratie française". "Ca donne de la politique un spectacle et un écho qui sont désespérants, décourageants", alors que "ce dont nous avons besoin, c'est au contraire d'une mobilisation et d'un engagement civiques", a-t-il estimé.
Source: Yahoo News