"Je ne suis pas prêt à jouer tout un match ou même soixante-dix minutes. Au mieux une mi-temps, une heure au maximum", indique le milieu offensif des Bleus dans le journal France Football ce mardi.
L'équipe de France qui doit absolument combler son retard de cinq points sur la Serbie lors de ces deux rencontres du groupe 7 des éliminatoires, a besoin de disposer de toutes ses forces vives.
Perturbé par des rumeurs de transferts au Real Madrid et par des blessures récurrentes cet été, le meneur de jeu du Bayern de Munich ne dispose pas de tout son potentiel.
"Je suis en retard. Je n'ai pas eu une vraie préparation. Je me suis souvent entraîné seul et je n'ai pas encore véritablement intégré l'équipe", détaille Ribéry. "Je n'ai pas fait un seul match amical. Je suis rentré trente minutes contre le Werder de Brême puis j'ai joué un peu avec les Bleus aux Féroé. Ensuite, j'ai eu à nouveau mal aux adducteurs. Je suis donc un peu juste. Il me manque du temps de jeu et du rythme. C'est surtout cela dont j'ai besoin".
Convoité par le Real Madrid, Franck Ribéry a dû rester au Bayern, son contrat s'achevant en 2011 et le nouvel entraîneur des Bavarois Louis van Gaal n'étant prêt à aucune concession.
"Un jour, je jouerai en Liga", affirme le meneur de jeu de 26 ans.
Ribéry, qui aspire jouer dans les meilleurs clubs européens, est déçu de la saison dernière du Bayern et inquiet pour celle qui s'engage. Après quatre journées, le Bayern est seulement huitième en Bundesliga, à cinq points du leader Hambourg.
"Contre le Barça, on a pris une leçon la saison dernière. Aujourd'hui, le Bayern est largement derrière Barcelone, Manchester, l'Inter, Chelsea, Liverpool ou le Real. On est en fin de peloton du Top 8 européen", se plaint-il.
Franck Ribéry qui vise avec l'équipe de France "la qualification directe pour la Coupe du monde", donc la première place du groupe 7, reconnaît que cette équipe est loin de dégager l'assurance de ses devancières, la championne du monde de 1998 ou la vice-championne du monde de 2006. "A cette époque, on savait où on allait et comment on jouait. Aujourd'hui, on reste toujours à la recherche d'un équilibre", dit-il.
La France affronte la Roumanie le 5 septembre au Stade de France puis la Serbie le 9 septembre à Belgrade.
Source: Associated Presse via Yahoo News
L'équipe de France qui doit absolument combler son retard de cinq points sur la Serbie lors de ces deux rencontres du groupe 7 des éliminatoires, a besoin de disposer de toutes ses forces vives.
Perturbé par des rumeurs de transferts au Real Madrid et par des blessures récurrentes cet été, le meneur de jeu du Bayern de Munich ne dispose pas de tout son potentiel.
"Je suis en retard. Je n'ai pas eu une vraie préparation. Je me suis souvent entraîné seul et je n'ai pas encore véritablement intégré l'équipe", détaille Ribéry. "Je n'ai pas fait un seul match amical. Je suis rentré trente minutes contre le Werder de Brême puis j'ai joué un peu avec les Bleus aux Féroé. Ensuite, j'ai eu à nouveau mal aux adducteurs. Je suis donc un peu juste. Il me manque du temps de jeu et du rythme. C'est surtout cela dont j'ai besoin".
Convoité par le Real Madrid, Franck Ribéry a dû rester au Bayern, son contrat s'achevant en 2011 et le nouvel entraîneur des Bavarois Louis van Gaal n'étant prêt à aucune concession.
"Un jour, je jouerai en Liga", affirme le meneur de jeu de 26 ans.
Ribéry, qui aspire jouer dans les meilleurs clubs européens, est déçu de la saison dernière du Bayern et inquiet pour celle qui s'engage. Après quatre journées, le Bayern est seulement huitième en Bundesliga, à cinq points du leader Hambourg.
"Contre le Barça, on a pris une leçon la saison dernière. Aujourd'hui, le Bayern est largement derrière Barcelone, Manchester, l'Inter, Chelsea, Liverpool ou le Real. On est en fin de peloton du Top 8 européen", se plaint-il.
Franck Ribéry qui vise avec l'équipe de France "la qualification directe pour la Coupe du monde", donc la première place du groupe 7, reconnaît que cette équipe est loin de dégager l'assurance de ses devancières, la championne du monde de 1998 ou la vice-championne du monde de 2006. "A cette époque, on savait où on allait et comment on jouait. Aujourd'hui, on reste toujours à la recherche d'un équilibre", dit-il.
La France affronte la Roumanie le 5 septembre au Stade de France puis la Serbie le 9 septembre à Belgrade.
Source: Associated Presse via Yahoo News