Au procès de l'élevage intensif : "Une poule n'est pas une boîte de conserve"
En Alsace, huit associations de défense des animaux ont assigné l'ex-gérant d'une société accusée d'avoir abandonné 200 000 poules pondeuses. L'ancien gérant d'Alsace OEuf, une entreprise d'élevage de volaille en batterie, comparaissait aujourd'hui au tribunal correctionnel de Strasbourg pour avoir laissé mourir des dizaines de milliers de poules dans des conditions extrêmes. À travers lui, c'est l'élevage intensif qui est montré du doigt. Huit associations de défense des animaux se sont constituées parties civiles contre Alsace OEuf et son gérant, Zeki Karahancer, qui a dû cesser son activité d'éleveur à Kingersheim (Haut-Rhin) après l'abattage en catastrophe, en novembre dernier, de 135 000 poules pondeuses agonisantes par manque de nourriture.(lepoint.fr) 200 000 poules constituent un capital qu'il ne faut pas laisser diminuer, il fallait donc les exporter, ou les abattre et les destiner à la consommation. "Ben voyons! C'est pas parce qu'on veut acheter les oeufs les moins chers qu'il faut laisser les agriculteurs faire n'importe quoi avec leurs poules! On veut les oeufs les moins chers et des poules bien traitées. L'agriculteur, lui, on s'en tape!". Les associations de défense des animaux ont des buts louables; on peut cependant difficilement les concilier avec la défense des consommateurs lambda. C'est drôle, non?
La hausse des suicides liés à la crise, une réalité ignorée
En trois ans, de la fin 2008 à la fin 2011, la crise économique a accru le nombre de chômeurs de 648 500. Elle a eu un autre impact, plus dramatique mais largement passé sous silence. Un surcroît, durant cette même période, d'environ 750 suicides et 10 780 tentatives de suicide. Ces chiffres ne sont pas officiels. Ils n'ont pourtant rien de fantaisistes. Ce sont des estimations établies par le meilleur spécialiste en France du suicide, le psychiatre et professeur de médecine légale Michel Debout. Cet ex-membre du Conseil économique et social, qui travaille sur le sujet depuis quarante ans, a créé et présidé quatorze années durant l'Union nationale pour la prévention du suicide (UNPS), organisatrice de la Journée nationale de prévention du suicide - qui se tient cette année le 7 février.(lemonde.fr) La plupart des gens qui se suicident le font car ils ne peuvent plus, d'aucune manière, subvenir à leurs besoins, le reste coule de source. La crise diminue la capacité des gens à subvenir à leurs besoins, donc, mathématiquement, les suicides augmentent aussi. Si cette réalité est ignorée, c'est sciemment.
Des exemptions sur la taxe sur l'achat d'actions d'entreprises ?
La taxe sur les achats d'actions d'entreprises françaises épargnera celles dont la capitalisation boursière est inférieure à un milliard d'euros, selon un document publié lundi par BFM Business. Le montant de la taxe s'élèvera à 0,1% de la valeur d'acquisition des titres. Elle doit entrer en vigueur en août. Sont concernées les grandes entreprises cotées dont le siège social est en France, "quel que soit le lieu de réalisation de la transaction". Le montant d'une autre taxe, qui portera cette fois sur les achats de credit default swaps (CDS) souverains "à nu", s'élèvera à 0,01% du montant notionnel du contrat.(fr.reuters.com) Il était temps que les transactions boursières soient taxées!
Source: Yahoo actualités
Référencement Internet et création de sites Web ici
En Alsace, huit associations de défense des animaux ont assigné l'ex-gérant d'une société accusée d'avoir abandonné 200 000 poules pondeuses. L'ancien gérant d'Alsace OEuf, une entreprise d'élevage de volaille en batterie, comparaissait aujourd'hui au tribunal correctionnel de Strasbourg pour avoir laissé mourir des dizaines de milliers de poules dans des conditions extrêmes. À travers lui, c'est l'élevage intensif qui est montré du doigt. Huit associations de défense des animaux se sont constituées parties civiles contre Alsace OEuf et son gérant, Zeki Karahancer, qui a dû cesser son activité d'éleveur à Kingersheim (Haut-Rhin) après l'abattage en catastrophe, en novembre dernier, de 135 000 poules pondeuses agonisantes par manque de nourriture.(lepoint.fr) 200 000 poules constituent un capital qu'il ne faut pas laisser diminuer, il fallait donc les exporter, ou les abattre et les destiner à la consommation. "Ben voyons! C'est pas parce qu'on veut acheter les oeufs les moins chers qu'il faut laisser les agriculteurs faire n'importe quoi avec leurs poules! On veut les oeufs les moins chers et des poules bien traitées. L'agriculteur, lui, on s'en tape!". Les associations de défense des animaux ont des buts louables; on peut cependant difficilement les concilier avec la défense des consommateurs lambda. C'est drôle, non?
La hausse des suicides liés à la crise, une réalité ignorée
En trois ans, de la fin 2008 à la fin 2011, la crise économique a accru le nombre de chômeurs de 648 500. Elle a eu un autre impact, plus dramatique mais largement passé sous silence. Un surcroît, durant cette même période, d'environ 750 suicides et 10 780 tentatives de suicide. Ces chiffres ne sont pas officiels. Ils n'ont pourtant rien de fantaisistes. Ce sont des estimations établies par le meilleur spécialiste en France du suicide, le psychiatre et professeur de médecine légale Michel Debout. Cet ex-membre du Conseil économique et social, qui travaille sur le sujet depuis quarante ans, a créé et présidé quatorze années durant l'Union nationale pour la prévention du suicide (UNPS), organisatrice de la Journée nationale de prévention du suicide - qui se tient cette année le 7 février.(lemonde.fr) La plupart des gens qui se suicident le font car ils ne peuvent plus, d'aucune manière, subvenir à leurs besoins, le reste coule de source. La crise diminue la capacité des gens à subvenir à leurs besoins, donc, mathématiquement, les suicides augmentent aussi. Si cette réalité est ignorée, c'est sciemment.
Des exemptions sur la taxe sur l'achat d'actions d'entreprises ?
La taxe sur les achats d'actions d'entreprises françaises épargnera celles dont la capitalisation boursière est inférieure à un milliard d'euros, selon un document publié lundi par BFM Business. Le montant de la taxe s'élèvera à 0,1% de la valeur d'acquisition des titres. Elle doit entrer en vigueur en août. Sont concernées les grandes entreprises cotées dont le siège social est en France, "quel que soit le lieu de réalisation de la transaction". Le montant d'une autre taxe, qui portera cette fois sur les achats de credit default swaps (CDS) souverains "à nu", s'élèvera à 0,01% du montant notionnel du contrat.(fr.reuters.com) Il était temps que les transactions boursières soient taxées!
Source: Yahoo actualités
Référencement Internet et création de sites Web ici