Copé assume une "réelle défaite" et affirme vouloir "revenir aux fondamentaux"
Les résultats tombent et les langues se délient. Le patron des députés UMP, Jean-François Copé, a estimé, dimanche, sur France 2, après le second tour des élections régionales qu'il s'agissait d'une "réelle défaite" pour la majorité, qui doit, selon lui, "revenir aux fondamentaux". "Les Français nous ont clairement adressé un certain nombre de messages au cours de cette campagne difficile, parce qu'en plein milieu d'une crise économique très sévère. Il en est un qu'il faut retenir cinq sur cinq : il faut revenir à nos fondamentaux, c'est-à-dire ce qui a permis l'élection de Nicolas Sarkozy comme président de la République et de la majorité en 2007", selon lui. (lepoint.fr)
Large victoire de la gauche, l'UMP sauve l'Alsace
La participation est en hausse de quatre points par rapport au premier tour. L'UMP conserve l'Alsace et a remporté la Réunion.
Ce deuxième tour des élections régionales a été marqué par un sursaut dans la participation. Selon l'institut OpinionWay, l'abstention atteindrait 49,5% des électeurs, soit près de quatre points de plus que dimanche dernier lors du premier tour.
La tendance reste cependant inchangée par rapport au premier tour, la gauche conservant sa large avance. Les listes socialistes et de leurs alliés obtiendraient nationalement 54,3% des voix, contre 36,1% pour la majorité et 8,7% pour le FN. (lexpress.fr)
Le PS confirme son succès du premier tour, sans grand chelem
Si ce n'est pas le grand chelem rêvé par Martine Aubry, c'est tout de même un indéniable succès pour le PS et ses alliés. Selon nos estimations TNS-Sofres/Logica, le Parti socialiste remporterait la Corse et conserverait toutes les autres régions de France métropolitaine.
Le succès est à relativiser. Malgré l'union avec les écologistes, Jacques Bigot n'a pu prendre l'Alsace à l'UMP. Le PS a également perdu la Guyane et échoue à La Réunion. Mais dans le reste des régions, le score est sans appel. D'autant plus que l'abstention est en recul de quatre points et concerne désormais moins de la moitié des électeurs.
Selon nos estimations, les listes d'union PS-Europe Ecologie-Front de gauche obtiennent 59 % des voix dans les six régions où elles étaient opposées à la droite seule et 49 % des voix dans les douze régions où elles affrontaient l'UMP (33,5 %) et le FN (17,5 %). Dans plusieurs régions (Poitou-Charentes, Midi-Pyrénées), les listes socialistes font plus de 60 %. (lemonde.fr)
Les résultats tombent et les langues se délient. Le patron des députés UMP, Jean-François Copé, a estimé, dimanche, sur France 2, après le second tour des élections régionales qu'il s'agissait d'une "réelle défaite" pour la majorité, qui doit, selon lui, "revenir aux fondamentaux". "Les Français nous ont clairement adressé un certain nombre de messages au cours de cette campagne difficile, parce qu'en plein milieu d'une crise économique très sévère. Il en est un qu'il faut retenir cinq sur cinq : il faut revenir à nos fondamentaux, c'est-à-dire ce qui a permis l'élection de Nicolas Sarkozy comme président de la République et de la majorité en 2007", selon lui. (lepoint.fr)
Large victoire de la gauche, l'UMP sauve l'Alsace
La participation est en hausse de quatre points par rapport au premier tour. L'UMP conserve l'Alsace et a remporté la Réunion.
Ce deuxième tour des élections régionales a été marqué par un sursaut dans la participation. Selon l'institut OpinionWay, l'abstention atteindrait 49,5% des électeurs, soit près de quatre points de plus que dimanche dernier lors du premier tour.
La tendance reste cependant inchangée par rapport au premier tour, la gauche conservant sa large avance. Les listes socialistes et de leurs alliés obtiendraient nationalement 54,3% des voix, contre 36,1% pour la majorité et 8,7% pour le FN. (lexpress.fr)
Le PS confirme son succès du premier tour, sans grand chelem
Si ce n'est pas le grand chelem rêvé par Martine Aubry, c'est tout de même un indéniable succès pour le PS et ses alliés. Selon nos estimations TNS-Sofres/Logica, le Parti socialiste remporterait la Corse et conserverait toutes les autres régions de France métropolitaine.
Le succès est à relativiser. Malgré l'union avec les écologistes, Jacques Bigot n'a pu prendre l'Alsace à l'UMP. Le PS a également perdu la Guyane et échoue à La Réunion. Mais dans le reste des régions, le score est sans appel. D'autant plus que l'abstention est en recul de quatre points et concerne désormais moins de la moitié des électeurs.
Selon nos estimations, les listes d'union PS-Europe Ecologie-Front de gauche obtiennent 59 % des voix dans les six régions où elles étaient opposées à la droite seule et 49 % des voix dans les douze régions où elles affrontaient l'UMP (33,5 %) et le FN (17,5 %). Dans plusieurs régions (Poitou-Charentes, Midi-Pyrénées), les listes socialistes font plus de 60 %. (lemonde.fr)