Parallèlement, une dizaine d'établissements restaient touchés, selon le ministère, bien davantage selon les syndicats, qui évoquent une trentaine de facultés concernées parmi les 85 universités françaises. Environ 500 étudiants - 1000 selon les organisteurs - ont manifesté dans l'après-midi à Paris de la place de la Bastille jusqu'aux abords de la faculté de la Sorbonne à l'appel du Collectif contre l'autonomie des universités (CCAU).
Une action similaire s'est déroulée à Rennes, où des manifestants ont occupé la gare, obligeant à la SNCF à interrompre le trafic.
D'autres manifestations ont eu lieu dans l'après-midi notamment à Rennes (1500 à 1900 manifestants) à Rouen (800 à 1000 manifestants) Toulouse (1200 à 1500), Lille (1000 à 1200) Perpignan (1000), Nantes, Nancy, Caen, Poitiers.
Dans la nuit de mardi à mercredi, la police était déjà intervenue à Paris pour mettre fin à un début d'occupation de la Sorbonne, à Paris. Et d'autres universités étaient bloquées dans le pays.
La ministre de l'Enseignement supérieur Valérie Pécresse s'est élevée contre ces blocages qui, selon elle, compromettent la réussite des étudiants, notamment les plus pauvres.
Valérie Pécresse estime que la gauche et l'extrême-gauche sont derrière le mouvement qui, remarque-t-elle, coïncide avec le mouvement prévu la semaine prochaine dans les transports et l'énergie contre la réforme des régimes spéciaux de retraite.
A la faculté du Mirail de Toulouse, près d'un millier d'étudiants ont voté à la mi-journée en faveur de la prolongation du mouvement de blocage de leur faculté entamé mardi dernier.
Source: EDICOM
Une action similaire s'est déroulée à Rennes, où des manifestants ont occupé la gare, obligeant à la SNCF à interrompre le trafic.
D'autres manifestations ont eu lieu dans l'après-midi notamment à Rennes (1500 à 1900 manifestants) à Rouen (800 à 1000 manifestants) Toulouse (1200 à 1500), Lille (1000 à 1200) Perpignan (1000), Nantes, Nancy, Caen, Poitiers.
Dans la nuit de mardi à mercredi, la police était déjà intervenue à Paris pour mettre fin à un début d'occupation de la Sorbonne, à Paris. Et d'autres universités étaient bloquées dans le pays.
La ministre de l'Enseignement supérieur Valérie Pécresse s'est élevée contre ces blocages qui, selon elle, compromettent la réussite des étudiants, notamment les plus pauvres.
Valérie Pécresse estime que la gauche et l'extrême-gauche sont derrière le mouvement qui, remarque-t-elle, coïncide avec le mouvement prévu la semaine prochaine dans les transports et l'énergie contre la réforme des régimes spéciaux de retraite.
A la faculté du Mirail de Toulouse, près d'un millier d'étudiants ont voté à la mi-journée en faveur de la prolongation du mouvement de blocage de leur faculté entamé mardi dernier.
Source: EDICOM