Après avoir d'abord présenté l'incident comme un détournement d'avion, l'agence officielle Chine nouvelle avait rapporté que les autorités chinoises soupçonnaient l'appareil d'être visé par une menace d'attentat à la bombe.
Mais un représentant du trafic aérien à Kaboul et une source au sein de la police aéroportuaire de Kandahar ont assuré qu'il n'y avait jamais eu de menace de cette nature.
L'avion de la compagnie afghane KamAir avait décollé de Kaboul mais s'est posé à son retour à Kandahar, dans le sud du pays, pour éviter un vent violent qui soufflait à Kaboul, ont indiqué ces sources.
"Il peut retourner à Kaboul quand il le souhaitera", a-t-on précisé à l'aéroport de Kandahar.
Selon ces mêmes sources, il s'agissait du premier vol de la compagnie sur cet itinéraire aérien et l'aéroport d'Urumqi, capitale de la province chinoise du Xinjiang, lui a refusé l'autorisation d'atterrir.
Le mois dernier, la ville d'Urumqi a été le théâtre d'affrontements meurtriers entre Ouïgours musulmans et Chinois de l'ethnie Han.
Source: Reuters via Yahoo News
Mais un représentant du trafic aérien à Kaboul et une source au sein de la police aéroportuaire de Kandahar ont assuré qu'il n'y avait jamais eu de menace de cette nature.
L'avion de la compagnie afghane KamAir avait décollé de Kaboul mais s'est posé à son retour à Kandahar, dans le sud du pays, pour éviter un vent violent qui soufflait à Kaboul, ont indiqué ces sources.
"Il peut retourner à Kaboul quand il le souhaitera", a-t-on précisé à l'aéroport de Kandahar.
Selon ces mêmes sources, il s'agissait du premier vol de la compagnie sur cet itinéraire aérien et l'aéroport d'Urumqi, capitale de la province chinoise du Xinjiang, lui a refusé l'autorisation d'atterrir.
Le mois dernier, la ville d'Urumqi a été le théâtre d'affrontements meurtriers entre Ouïgours musulmans et Chinois de l'ethnie Han.
Source: Reuters via Yahoo News