Les traitements habituels prennent environ huit semaines ou plus pour exercer leurs effets chez des patients résistants et de quatre à six semaines chez des patients plus réceptifs, ce qui est un défault majeur de ces médicaments.
Selon les chercheurs de l'institut national de la santé mentale (National Institutes of Health's National Institute of Mental Health - NIH ), quelques participants, qui avaient antérieurement essayé sans succès une moyenne de 6 médicaments ont après une seule dose du traitement expérimental été soulagées.
C'est la première étude qui examine les effets de la kétamine sur la dépression. Utilisée en très petites doses, la médication est importante pour la recherche, mais elle ne pourra pas être un traitement clinique largement utilisé pour soigner la dépression à cause de ses effets secondaires potentiels incluant des hallucinations et des euphories ( à de plus hautes doses).
Cependant les scientifiques pensent que cette recherche pourrait mener vers le développement d'une nouvelle classe de médicaments actifs à effets rapides et de plus de longue durée. Aucun des patients de l'étude, tous n'ayant reçu qu'une faible dose, n'eut d'effets secondaires sérieux. Les résultats sont publiés dans le numéro du mois d'août 2006 de Archives of General Psychiatry
Selon le Dr Elias A. Zerhouni, directeur au NIH, être capable de traiter la dépression majeure rapidement pourrait avoir des implications majeures en santé publique. Cette découverte démontre l'importance de développer de nouvelles classes d'anti dépresseurs qui ne sont pas simplement des variations de médicaments existants.
Source: NIH News
Selon les chercheurs de l'institut national de la santé mentale (National Institutes of Health's National Institute of Mental Health - NIH ), quelques participants, qui avaient antérieurement essayé sans succès une moyenne de 6 médicaments ont après une seule dose du traitement expérimental été soulagées.
C'est la première étude qui examine les effets de la kétamine sur la dépression. Utilisée en très petites doses, la médication est importante pour la recherche, mais elle ne pourra pas être un traitement clinique largement utilisé pour soigner la dépression à cause de ses effets secondaires potentiels incluant des hallucinations et des euphories ( à de plus hautes doses).
Cependant les scientifiques pensent que cette recherche pourrait mener vers le développement d'une nouvelle classe de médicaments actifs à effets rapides et de plus de longue durée. Aucun des patients de l'étude, tous n'ayant reçu qu'une faible dose, n'eut d'effets secondaires sérieux. Les résultats sont publiés dans le numéro du mois d'août 2006 de Archives of General Psychiatry
Selon le Dr Elias A. Zerhouni, directeur au NIH, être capable de traiter la dépression majeure rapidement pourrait avoir des implications majeures en santé publique. Cette découverte démontre l'importance de développer de nouvelles classes d'anti dépresseurs qui ne sont pas simplement des variations de médicaments existants.
Source: NIH News