Le calcul du CAC 40 a alors été arrêté pendant quinze minutes aujourd'huicompte tenu du nombre très important des valeurs réservées à la baisse. Une porte-parole de Nyse-Euronext a indiqué qu'il s'agissait d'une règle appliquée quand 65 % de la capitalisation boursière de l'indice est réservée à la baisse. Une mesure qui semblait avoir permis d'enrayer la chute : quand le calcul a repris à 10 h 34, le CAC 40 perdait 6,14 % à 3 502,89 points. Vers 12 h 30, il perdait - 4,49 %. BROWN POUR UN PLAN EUROPÉEN .
Les autres places européennes connaissaient sensiblement la même situation. Peu après 10 heures, le DAX chutait de 7,17 % après avoir ouvert en baisse de 1,68 %, pour se redresser vers 12 h 30 à - 5,58 %. A Londres, malgré l'annonce d'un plan d'aide à huit grandes banques britanniques par le ministre des finances avant l'ouverture de la Bourse, l'indice de référence Footsie-100 accusait également un net recul dès l'ouverture et perdait plus de 7 % vers 10 heures, remontant vers 12 h 30 à - 3,68 %.
Aucune des multiples initiatives des autorités n'a apporté le moindre réconfort aux investisseurs, qu'il s'agisse de la garantie des dépôts bancaires des particuliers dans l'Union européenne ou du coup de pouce de la réserve fédérale américaine au financement des entreprises ou de l'annonce d'un plan britannique. Parallèlement, de nouveaux signes de la contagion de la crise à l'économie sont apparus : le géant américain de l'aluminium Alcoa a publié des résultats plus mauvais que prévu au troisième trimestre, et les crédits à la consommation ont reculé aux Etats-Unis pour la première fois depuis plus de dix ans.
Wall Street a ainsi clôturé en forte baisse hier soir, le Dow Jones perdant 5,11 %, le Nasdaq 5,80 %, tandis que les Bourses asiatiques vivaient une journée noire, Tokyo, en particulier, connaissant sa pire séance depuis le krach de 1987, en baisse de - 9,38 % en clôture. Devant la situation, le premier ministre britannique, Gordon Brown, a annoncé aujourd'hui, lors d'une conférence de presse, avoir "invité" les autres pays de l'UE à adopter un "plan européen de financement à moyen terme" du système bancaire, précisant en avoir parlé en début de matinée au président français, Nicolas Sarkozy.
Source: Rewmi
Les autres places européennes connaissaient sensiblement la même situation. Peu après 10 heures, le DAX chutait de 7,17 % après avoir ouvert en baisse de 1,68 %, pour se redresser vers 12 h 30 à - 5,58 %. A Londres, malgré l'annonce d'un plan d'aide à huit grandes banques britanniques par le ministre des finances avant l'ouverture de la Bourse, l'indice de référence Footsie-100 accusait également un net recul dès l'ouverture et perdait plus de 7 % vers 10 heures, remontant vers 12 h 30 à - 3,68 %.
Aucune des multiples initiatives des autorités n'a apporté le moindre réconfort aux investisseurs, qu'il s'agisse de la garantie des dépôts bancaires des particuliers dans l'Union européenne ou du coup de pouce de la réserve fédérale américaine au financement des entreprises ou de l'annonce d'un plan britannique. Parallèlement, de nouveaux signes de la contagion de la crise à l'économie sont apparus : le géant américain de l'aluminium Alcoa a publié des résultats plus mauvais que prévu au troisième trimestre, et les crédits à la consommation ont reculé aux Etats-Unis pour la première fois depuis plus de dix ans.
Wall Street a ainsi clôturé en forte baisse hier soir, le Dow Jones perdant 5,11 %, le Nasdaq 5,80 %, tandis que les Bourses asiatiques vivaient une journée noire, Tokyo, en particulier, connaissant sa pire séance depuis le krach de 1987, en baisse de - 9,38 % en clôture. Devant la situation, le premier ministre britannique, Gordon Brown, a annoncé aujourd'hui, lors d'une conférence de presse, avoir "invité" les autres pays de l'UE à adopter un "plan européen de financement à moyen terme" du système bancaire, précisant en avoir parlé en début de matinée au président français, Nicolas Sarkozy.
Source: Rewmi