Ce relèvement serait de 0,3% en 2009, 0,4% en 2010 et 0,3% en 2011, écrit le Premier ministre dans une lettre aux dirigeants des organisations patronales et syndicales.
Il interviendrait "à prélèvements constants, grâce à la diminution parallèle des cotisations d'assurance chômage", précise-t-il.
Le Medef a critiqué une solution qui "étouffe et appauvrit notre économie et met donc à terme en danger le système qu'elle prétend sauver".
"Pour pérenniser notre système de retraites, outre l'allongement de la durée de cotisation à 41 ans en 2012, la seule solution viable et connue de chacun est le relèvement de l'âge légal de départ à la retraite", dit l'organisation patronale dans un communiqué.
Pour Force ouvrière, la hausse "doit concerner la cotisation patronale sachant que la contribution des employeurs au financement de la protection sociale collective a diminué depuis plusieurs années".
Le syndicat demande par ailleurs dans un communiqué que les sommes versées au titre de l'intéressement et de la participation soient assujetties à une cotisation patronale retraite, sur le modèle de ce qu'a annoncé le gouvernement pour l'assurance maladie.
Pour la CGT, "la direction choisie par le gouvernement n'est pas la bonne". Evoquant une étude de l'OCDE, le syndicat ajoute dans un communiqué que "c'est la France qui est allée le plus loin dans les sacrifices demandés aux salariés".
A François Fillon, qui juge que "compte tenu de l'amélioration apportée à la situation de l'emploi, les marges de manoeuvre dont dispose l'Unedic lui permettront de baisser les cotisations d'assurance-chômage", les syndicats répondent qu'une telle décision relève de la négociation qu'engageront les partenaires sociaux en septembre.
Selon la CGT, "les excédents de l'Unedic doivent d'abord servir à celles et ceux qui, privés d'emploi, ne peuvent pas vivre décemment".
FO déclare de son côté qu'"avant d'envisager toute baisse, il faut prioritairement améliorer le système d'indemnisation et garantir la situation des saisonniers".
Source: Yahoo News
Il interviendrait "à prélèvements constants, grâce à la diminution parallèle des cotisations d'assurance chômage", précise-t-il.
Le Medef a critiqué une solution qui "étouffe et appauvrit notre économie et met donc à terme en danger le système qu'elle prétend sauver".
"Pour pérenniser notre système de retraites, outre l'allongement de la durée de cotisation à 41 ans en 2012, la seule solution viable et connue de chacun est le relèvement de l'âge légal de départ à la retraite", dit l'organisation patronale dans un communiqué.
Pour Force ouvrière, la hausse "doit concerner la cotisation patronale sachant que la contribution des employeurs au financement de la protection sociale collective a diminué depuis plusieurs années".
Le syndicat demande par ailleurs dans un communiqué que les sommes versées au titre de l'intéressement et de la participation soient assujetties à une cotisation patronale retraite, sur le modèle de ce qu'a annoncé le gouvernement pour l'assurance maladie.
Pour la CGT, "la direction choisie par le gouvernement n'est pas la bonne". Evoquant une étude de l'OCDE, le syndicat ajoute dans un communiqué que "c'est la France qui est allée le plus loin dans les sacrifices demandés aux salariés".
A François Fillon, qui juge que "compte tenu de l'amélioration apportée à la situation de l'emploi, les marges de manoeuvre dont dispose l'Unedic lui permettront de baisser les cotisations d'assurance-chômage", les syndicats répondent qu'une telle décision relève de la négociation qu'engageront les partenaires sociaux en septembre.
Selon la CGT, "les excédents de l'Unedic doivent d'abord servir à celles et ceux qui, privés d'emploi, ne peuvent pas vivre décemment".
FO déclare de son côté qu'"avant d'envisager toute baisse, il faut prioritairement améliorer le système d'indemnisation et garantir la situation des saisonniers".
Source: Yahoo News