Les manœuvres au Sud sont considérées par Pyongyang comme une "provocation militaire extrêmement aventureuse et dangereuse" et constituent "une menace militaire déguisée", a estimé l'agence de presse nord-coréenne KCNA.
L'armée populaire de Corée "procédera à des représailles sans merci, si des intrusions sont opérées dans son ciel, sur son sol ou dans ses eaux territoriales, ne serait-ce que d'un centimètre", poursuit l'agence.
Programmés jusqu'au 20 mars, ces exercices doivent permettre de tester la capacité de défense des forces sud-coréennes et américaines.
Ils interviennent alors que le Nord se prépare à procéder à l'essai d'un missile Taepodong-2 et à l'envoi d'un satellite dans l'espace. "Tout tir contre notre satellite conduira à la guerre", a prévenu un porte-parole de l'armée dans un communiqué repris par l'agence KCNA.
Pour les spécialistes de la question coréenne, le régime de Pyongyang se sert de cette rhétorique guerrière comme d'un moyen de pression sur le nouveau président américain, Barack Obama.
Ces tensions renouvelées se produisent aussi dans une période d'intenses spéculations autour de la santé du dirigeant nord-coréen Kim Jong-il, qui aurait été victime d'un accident de santé en août dernier.
Dimanche, les Nord-Coréens étaient appelés à renouveler leur parlement. Selon KCNA, qui n'a annoncé que ce résultat, Kim Jong-il a été réélu avec 100% des voix dans sa circonscription de Pyongyang.
A en croire l'agence sud-coréenne Yonhap, le plus jeune de ses fils, Jim Jong-un, était également candidat. Si cette information devait être confirmée, cela pourrait constituer une indication sur son statut de successeur possible du "Cher dirigeant".
Source: Yahoo News
L'armée populaire de Corée "procédera à des représailles sans merci, si des intrusions sont opérées dans son ciel, sur son sol ou dans ses eaux territoriales, ne serait-ce que d'un centimètre", poursuit l'agence.
Programmés jusqu'au 20 mars, ces exercices doivent permettre de tester la capacité de défense des forces sud-coréennes et américaines.
Ils interviennent alors que le Nord se prépare à procéder à l'essai d'un missile Taepodong-2 et à l'envoi d'un satellite dans l'espace. "Tout tir contre notre satellite conduira à la guerre", a prévenu un porte-parole de l'armée dans un communiqué repris par l'agence KCNA.
Pour les spécialistes de la question coréenne, le régime de Pyongyang se sert de cette rhétorique guerrière comme d'un moyen de pression sur le nouveau président américain, Barack Obama.
Ces tensions renouvelées se produisent aussi dans une période d'intenses spéculations autour de la santé du dirigeant nord-coréen Kim Jong-il, qui aurait été victime d'un accident de santé en août dernier.
Dimanche, les Nord-Coréens étaient appelés à renouveler leur parlement. Selon KCNA, qui n'a annoncé que ce résultat, Kim Jong-il a été réélu avec 100% des voix dans sa circonscription de Pyongyang.
A en croire l'agence sud-coréenne Yonhap, le plus jeune de ses fils, Jim Jong-un, était également candidat. Si cette information devait être confirmée, cela pourrait constituer une indication sur son statut de successeur possible du "Cher dirigeant".
Source: Yahoo News