Son plan consiste à alléger à titre exceptionnel la fiscalité pour un montant d'environ 1 % du produit intérieur brut (PIB) américain, soit 140 à 150 milliards de dollars (96 à 103 milliards d'euros), afin de soutenir la consommation et l'emploi. Les deux tiers seraient dégagés par un dégrèvement d'impôts de 800 dollars par individu et de 1 600 dollars par couple. Le reste consiste à baisser la fiscalité sur les investissements des entreprises. Selon la Maison Blanche, cette mesure permettra de créer 500 000 emplois. M. Bush n'a pas indiqué quels secteurs feraient les frais du manque à gagner fiscal de l'Etat.
Pour être validé, ce plan doit maintenant être négocié avec les démocrates, majoritaires au Congrès. Leur chef au Sénat, Henry Reid, semble confiant dans sa capacité d'imposer à la Maison Blanche des mesures adjacentes directement destinées à soutenir les plus démunis. L'idée consiste, tout en restant dans l'enveloppe proposée, à aider les chômeurs, les retraités en difficulté, les familles faisant l'objet d'une saisie de leur appartement pour cause de surendettement et tous ceux qui, ne payant pas d'impôt sur le revenu par manque de moyens, ne sont pour le moment pas concernés par ce plan.
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Pour être validé, ce plan doit maintenant être négocié avec les démocrates, majoritaires au Congrès. Leur chef au Sénat, Henry Reid, semble confiant dans sa capacité d'imposer à la Maison Blanche des mesures adjacentes directement destinées à soutenir les plus démunis. L'idée consiste, tout en restant dans l'enveloppe proposée, à aider les chômeurs, les retraités en difficulté, les familles faisant l'objet d'une saisie de leur appartement pour cause de surendettement et tous ceux qui, ne payant pas d'impôt sur le revenu par manque de moyens, ne sont pour le moment pas concernés par ce plan.
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