L'OM, actuellement en tête de la Ligue 1 et en position de conquérir son premier titre depuis 17 ans, pourrait rapidement replonger dans la tourmente.
"L'interview de Robert Louis-Dreyfus m'a perturbé. Je ne l'ai pas comprise. A mon avis, c'était un signe. Malgré mon travail, il y avait un manque de reconnaissance, de confiance surtout", a dit le technicien belge au quotidien régional.
Dans une interview, l'homme d'affaires et actionnaire majoritaire de l'OM avait critiqué le travail de l'équipe dirigeante et annoncé attendre la fin du championnat pour prolonger éventuellement le contrat de l'entraîneur.
"Si une fois, RLD avait pris son téléphone pour m'expliquer ce qu'il a voulu dire, j'aurais compris. Je n'ai ni digéré, ni accepté. Dans tout autre situation, je serais resté à l'OM à 100%", ajoute Gerets, qui insiste sur le caractère irréversible de sa décision.
"Quand je prends une décision, je n'ai pas pour habitude de faire marche arrière. Ce ne serait plus comme avant", a-t-il précisé.
Selon le porte-parole de Robert Louis-Dreyfus, Vincent Labrune, l'actionnaire du club aurait pour sa part informé dernièrement Pape Diouf de sa volonté de voir Eric Gerets rester à son poste.
L'annonce du départ de Gerets intervient à quatre jours de la réception de Toulouse, un match décisif dans l'optique de la conquête d'une couronne de champion qui échappe au plus titré des clubs français depuis 1992.
L'enfant terrible du football français, qui s'était assagi depuis cinq ans sous la conduite du président Pape Diouf, renoue ainsi avec ses vieux démons au plus mauvais moment.
Impérial sur le terrain, le club se déchire de nouveau en coulisses où on évoque désormais à mots couverts le départ de Diouf.
"Les joueurs sont des professionnels. Ils veulent la même chose que moi: être sacrés champions de France", relativise Gerets. "Pour le reste, ils connaissent les conditions de ce métier, les départs, les arrivées. C'est notre vie."
Les noms de l'Argentin Carlos Bianchi, l'actuel manager de Boca Juniors et du Français Didier Deschamps sont d'ores et déjà cités pour succéder au "Lion de Rekem" sur le banc marseillais, où il est arrivé en septembre 2007.
Source: Yahoo News
"L'interview de Robert Louis-Dreyfus m'a perturbé. Je ne l'ai pas comprise. A mon avis, c'était un signe. Malgré mon travail, il y avait un manque de reconnaissance, de confiance surtout", a dit le technicien belge au quotidien régional.
Dans une interview, l'homme d'affaires et actionnaire majoritaire de l'OM avait critiqué le travail de l'équipe dirigeante et annoncé attendre la fin du championnat pour prolonger éventuellement le contrat de l'entraîneur.
"Si une fois, RLD avait pris son téléphone pour m'expliquer ce qu'il a voulu dire, j'aurais compris. Je n'ai ni digéré, ni accepté. Dans tout autre situation, je serais resté à l'OM à 100%", ajoute Gerets, qui insiste sur le caractère irréversible de sa décision.
"Quand je prends une décision, je n'ai pas pour habitude de faire marche arrière. Ce ne serait plus comme avant", a-t-il précisé.
Selon le porte-parole de Robert Louis-Dreyfus, Vincent Labrune, l'actionnaire du club aurait pour sa part informé dernièrement Pape Diouf de sa volonté de voir Eric Gerets rester à son poste.
L'annonce du départ de Gerets intervient à quatre jours de la réception de Toulouse, un match décisif dans l'optique de la conquête d'une couronne de champion qui échappe au plus titré des clubs français depuis 1992.
L'enfant terrible du football français, qui s'était assagi depuis cinq ans sous la conduite du président Pape Diouf, renoue ainsi avec ses vieux démons au plus mauvais moment.
Impérial sur le terrain, le club se déchire de nouveau en coulisses où on évoque désormais à mots couverts le départ de Diouf.
"Les joueurs sont des professionnels. Ils veulent la même chose que moi: être sacrés champions de France", relativise Gerets. "Pour le reste, ils connaissent les conditions de ce métier, les départs, les arrivées. C'est notre vie."
Les noms de l'Argentin Carlos Bianchi, l'actuel manager de Boca Juniors et du Français Didier Deschamps sont d'ores et déjà cités pour succéder au "Lion de Rekem" sur le banc marseillais, où il est arrivé en septembre 2007.
Source: Yahoo News