Les résidus de la panification sont mélangés à de l'eau puis introduits dans un réacteur. Lorsque que celui-ci est chauffé, le glucose compris dans les restes alimentaires subit une fermentation bactérienne et libère de l'hydrogène. Le houblon utilisé peut lui aussi provenir des résidus des brasseries.
Des essais menés sur 180 jours dans des bacs expérimentaux de 900 litres ont démontré que le contrôle des fermentations permet d'atteindre un rendement de 80% dans la transformation de glucose en hydrogène. Les méthodes précédentes ne permettaient pas de dépasser les 50%.
Les chercheurs espèrent enfin coupler, à la production d'hydrogène, celle de méthane par méthanisation des résidus une fois la première fermentation terminée.
L'entreprise va continuer ses recherches afin de pouvoir utiliser le système avec d'autres matières végétales : résidus de manioc lors de la fabrication de tapioca, feuilles et branchages, etc.
Des essais menés sur 180 jours dans des bacs expérimentaux de 900 litres ont démontré que le contrôle des fermentations permet d'atteindre un rendement de 80% dans la transformation de glucose en hydrogène. Les méthodes précédentes ne permettaient pas de dépasser les 50%.
Les chercheurs espèrent enfin coupler, à la production d'hydrogène, celle de méthane par méthanisation des résidus une fois la première fermentation terminée.
L'entreprise va continuer ses recherches afin de pouvoir utiliser le système avec d'autres matières végétales : résidus de manioc lors de la fabrication de tapioca, feuilles et branchages, etc.