."A la suite du jugement rendu par le tribunal correctionnel de Paris, Total décide de faire appel d'une décision de justice qu'il estime injustifiée et allant à l'encontre du but recherché : améliorer la sécurité dans le transport maritime", précise le communiqué.
"Il est reproché à Total d'avoir provoqué le naufrage en commettant une faute d'imprudence dans la sélection du navire, alors que Total a été trompé par des certificats qui ne correspondaient pas à la réalité de l'état gravement dégradé de la structure du navire", ajoute le groupe, soulignant que ce n'est "ni le rôle ni le métier" du groupe de se substituer aux sociétés de contrôle et de classification.
Outre l'amende maximale de 375.000 euros au pénal Total a été condamné à 192 millions d'euros de dommages et intérêts, solidairement avec le propriétaire, le gestionnaire et la société de classification de l'Erika.
Le groupe précise vendredi qu'il est prêt à verser les indemnités "immédiatement et de manière irrévocable aux victimes de la pollution", à condition que ces parties civiles se désistent en appel.
"Il est reproché à Total d'avoir provoqué le naufrage en commettant une faute d'imprudence dans la sélection du navire, alors que Total a été trompé par des certificats qui ne correspondaient pas à la réalité de l'état gravement dégradé de la structure du navire", ajoute le groupe, soulignant que ce n'est "ni le rôle ni le métier" du groupe de se substituer aux sociétés de contrôle et de classification.
Outre l'amende maximale de 375.000 euros au pénal Total a été condamné à 192 millions d'euros de dommages et intérêts, solidairement avec le propriétaire, le gestionnaire et la société de classification de l'Erika.
Le groupe précise vendredi qu'il est prêt à verser les indemnités "immédiatement et de manière irrévocable aux victimes de la pollution", à condition que ces parties civiles se désistent en appel.