Nicolas Sarkozy a proposé un avis médical "de professeurs d'université du plus haut niveau" à Chantal Sebire, cette mère de famille défigurée par une maladie incurable qui demande à la justice de l'autoriser à mettre fin à ces jours, a fait savoir jeudi le porte-parole de l'Elysée David Martinon.
"Il lui a proposé qu'un nouvel avis soit donné sur son cas par un collège de professeurs d'université du plus haut niveau", a expliqué M. Martinon. Cette réunion, destinée à "prouver que toutes les ressources de la médecine sont épuisées", "aura lieu dans quelques jours si Mme Sebire accepte le principe".
Sur le fond, le porte-parole de l'Elysée a rappelé "le cadre juridique fixé par la loi Leonetti de 2005" selon laquelle "l'intervention des médecins ne saurait en aucun cas mettre fin à la vie du patient". "Pour le moment nous restons dans le cadre de cette loi Leonetti", a-t-il souligné, parlant d'un "bon équilibre".
"Il appartient aux juges de dire si cette demande est recevable et si elle entre dans le cadre de la loi", a poursuivi le porte-parole de l'Elysée. "En tout état de cause, c'est une affaire qui doit rester une appréciation médicale."
yahoo.com
"Il lui a proposé qu'un nouvel avis soit donné sur son cas par un collège de professeurs d'université du plus haut niveau", a expliqué M. Martinon. Cette réunion, destinée à "prouver que toutes les ressources de la médecine sont épuisées", "aura lieu dans quelques jours si Mme Sebire accepte le principe".
Sur le fond, le porte-parole de l'Elysée a rappelé "le cadre juridique fixé par la loi Leonetti de 2005" selon laquelle "l'intervention des médecins ne saurait en aucun cas mettre fin à la vie du patient". "Pour le moment nous restons dans le cadre de cette loi Leonetti", a-t-il souligné, parlant d'un "bon équilibre".
"Il appartient aux juges de dire si cette demande est recevable et si elle entre dans le cadre de la loi", a poursuivi le porte-parole de l'Elysée. "En tout état de cause, c'est une affaire qui doit rester une appréciation médicale."
yahoo.com