Si Mary Ann Langley a été reconnue coupable d’homicide sur son mari, les lois de l’Etat du Connecticut lui permettent de garder son héritage. James, le mari de Mary Ann, est mort en décembre 2006 après qu’elle a jeté 2 tasses d’essence sur lui et lui a mis le feu dans leur maison.
Le procès a duré sept jours et a conclu à la culpabilité de la suspecte pour homicide volontaire au premier degré. Willie Langley, le frère de James, raconte : « Si vous tuez quelqu’un, pourquoi devriez-vous en profiter ? Je pense que si vous versez de l’essence sur un homme, vous avez pour but de le tuer, mais [l’accusation] ne pouvait pas le prouver ».
Si, selon les lois du Connecticut, les assassins ne peuvent pas hériter, les personnes convaincues d’homicide le peuvent. Mais une action en justice peut empêcher cela, et c'est ce que Willie Langley est susceptible de faire.
Source: Yahoo News
Le procès a duré sept jours et a conclu à la culpabilité de la suspecte pour homicide volontaire au premier degré. Willie Langley, le frère de James, raconte : « Si vous tuez quelqu’un, pourquoi devriez-vous en profiter ? Je pense que si vous versez de l’essence sur un homme, vous avez pour but de le tuer, mais [l’accusation] ne pouvait pas le prouver ».
Si, selon les lois du Connecticut, les assassins ne peuvent pas hériter, les personnes convaincues d’homicide le peuvent. Mais une action en justice peut empêcher cela, et c'est ce que Willie Langley est susceptible de faire.
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