Plus de 1.000 manifestants pro-palestiniens à Paris
Mille deux cents personnes, selon la préfecture de police de Paris, participaient lundi soir au rassemblement pro-palestinien au Rond-Point de Champs-Elysées pour dénoncer l'assaut meurtrier lancé par Israël dans la matinée sur la flottille qui faisait route vers la Bande de Gaza.
La manifestation qui s’est déroulée à Avignon a une particularité. Perdu dans la masse des 2.000 manifestants, un couple porte une petite pancarte. Sur la pancarte on peut lire « Union Juive Française pour la Paix ». Autour du couple, de nombreux manifestants se montrent chaleureux. On dit au couple : « C’est bien que vous soyez là ». Le porteur de cette pancarte précise sa présence dans Le Dauphiné Libéré: « Nous sommes là aujourd'hui parce que nous pensons que ce qui se passe en ce moment dans la bande de Gaza est tout simplement la pire des barbaries. C'était déjà la plus grande prison du monde... et l'aide internationale n'y accède pas. Ce qui arrive est un crime contre l'humanité et c'est aussi contreproductif. Cela ne peut qu'attiser le terrorisme. Ce qui me fait chaud au coeur, c'est de voir tous ces gens des quartiers sud qui viennent manifester et montrer l'exemple. » Le Vaucluse abrite la plus vieille communauté juive d’Europe. (Le Post)
Le ministre de l'Education explique aux recteurs comment supprimer des postes
Des documents confidentiels dont «Libération» a pu avoir copie proposent notamment d'augmenter les effectifs des classes et de supprimer les «Rased» (enseignants spécialisés dans la lutte contre l’échec scolaire). A l’école élémentaire (six-onze ans), la suppression d’environ «un millier d’emplois» d’intervenants extérieurs en langue vivante et d’assistants étrangers est évoquée, ce qui «devrait être sans conséquence sur l’enseignement des langues», selon le ministère. En collèges, le ministère prône aussi d’examiner «la taille des classes», et de continuer à fermer des petits établissements; en lycées, il est proposé de «rationaliser» l’offre scolaire et la carte des formations. (Libération)
La discutable "privatisation" du contrôle des radars routiers
Depuis le début de l'année, les radars de vitesse ne sont plus vérifiés par les agents de l'État, mais par des privés. Une situation passée totalement inaperçue et qui n'est pas sans soulever quelques interrogations. Depuis la mise en place des radars automatiques, en 2003, c'est le groupe Sagem qui fournit la quasi-totalité des 2.600 radars automatiques en France. La société est également chargée de gérer leur maintenance. Ainsi, jusqu'en décembre 2009, conformément à la réglementation, Sagem devait faire appel à des fonctionnaires pour les vérifier, un dispositif censé assurer l'indépendance du contrôle. Mais en décembre 2009, le ministère de l'Industrie a modifié le processus de contrôle en dressant une liste de cinq organismes jugés aptes à étalonner les radars . Il ne restait plus qu'à choisir, au sein de cette liste, la société en charge de contrôler les radars automatiques, qui constituent près de 90 % des P.-V. de vitesse. C'est la société SGS Qualitest Industrie qui a remporté l'affaire, fin janvier. Une décision restée totalement confidentielle. (Le Point)
Un commando de "fous dangereux" attaque un fourgon blindé
Un fourgon de transport de fonds a été pillé lundi à Marseille par un commando lourdement armé qui s'est emparé de 2,1 millions d'euros. Un commando de six à huit hommes cagoulés et fortement armés a attaqué à Marseille un fourgon blindé de la société Loomis, sans faire de blessés, rapportent les autorités. Les malfaiteurs ont pris la fuite. De source proche de l'enquête, on précise que les braqueurs se seraient emparés de la plus grande partie de l'argent contenu dans le fourgon qui transportait entre six et sept millions d'euros. "Ils ont tiré pour tuer, c'est un miracle qu'il n'y ait pas eu de blessé", a dit le procureur Jacques Dallest à la presse. "Ce n'est pas une équipe de braqueurs chevronnés, mais des fous dangereux qui n'ont pas hésité à tirer sur des convoyeurs, des policiers et des passants", a ajouté le directeur de la police judiciaire marseillaise, Roland Gauze. L'attaque s'est produite dans un lieu fréquenté et à une heure de forte affluence. (La Tribune - Reuters)
Source: Yahoo Actualités
Mille deux cents personnes, selon la préfecture de police de Paris, participaient lundi soir au rassemblement pro-palestinien au Rond-Point de Champs-Elysées pour dénoncer l'assaut meurtrier lancé par Israël dans la matinée sur la flottille qui faisait route vers la Bande de Gaza.
La manifestation qui s’est déroulée à Avignon a une particularité. Perdu dans la masse des 2.000 manifestants, un couple porte une petite pancarte. Sur la pancarte on peut lire « Union Juive Française pour la Paix ». Autour du couple, de nombreux manifestants se montrent chaleureux. On dit au couple : « C’est bien que vous soyez là ». Le porteur de cette pancarte précise sa présence dans Le Dauphiné Libéré: « Nous sommes là aujourd'hui parce que nous pensons que ce qui se passe en ce moment dans la bande de Gaza est tout simplement la pire des barbaries. C'était déjà la plus grande prison du monde... et l'aide internationale n'y accède pas. Ce qui arrive est un crime contre l'humanité et c'est aussi contreproductif. Cela ne peut qu'attiser le terrorisme. Ce qui me fait chaud au coeur, c'est de voir tous ces gens des quartiers sud qui viennent manifester et montrer l'exemple. » Le Vaucluse abrite la plus vieille communauté juive d’Europe. (Le Post)
Le ministre de l'Education explique aux recteurs comment supprimer des postes
Des documents confidentiels dont «Libération» a pu avoir copie proposent notamment d'augmenter les effectifs des classes et de supprimer les «Rased» (enseignants spécialisés dans la lutte contre l’échec scolaire). A l’école élémentaire (six-onze ans), la suppression d’environ «un millier d’emplois» d’intervenants extérieurs en langue vivante et d’assistants étrangers est évoquée, ce qui «devrait être sans conséquence sur l’enseignement des langues», selon le ministère. En collèges, le ministère prône aussi d’examiner «la taille des classes», et de continuer à fermer des petits établissements; en lycées, il est proposé de «rationaliser» l’offre scolaire et la carte des formations. (Libération)
La discutable "privatisation" du contrôle des radars routiers
Depuis le début de l'année, les radars de vitesse ne sont plus vérifiés par les agents de l'État, mais par des privés. Une situation passée totalement inaperçue et qui n'est pas sans soulever quelques interrogations. Depuis la mise en place des radars automatiques, en 2003, c'est le groupe Sagem qui fournit la quasi-totalité des 2.600 radars automatiques en France. La société est également chargée de gérer leur maintenance. Ainsi, jusqu'en décembre 2009, conformément à la réglementation, Sagem devait faire appel à des fonctionnaires pour les vérifier, un dispositif censé assurer l'indépendance du contrôle. Mais en décembre 2009, le ministère de l'Industrie a modifié le processus de contrôle en dressant une liste de cinq organismes jugés aptes à étalonner les radars . Il ne restait plus qu'à choisir, au sein de cette liste, la société en charge de contrôler les radars automatiques, qui constituent près de 90 % des P.-V. de vitesse. C'est la société SGS Qualitest Industrie qui a remporté l'affaire, fin janvier. Une décision restée totalement confidentielle. (Le Point)
Un commando de "fous dangereux" attaque un fourgon blindé
Un fourgon de transport de fonds a été pillé lundi à Marseille par un commando lourdement armé qui s'est emparé de 2,1 millions d'euros. Un commando de six à huit hommes cagoulés et fortement armés a attaqué à Marseille un fourgon blindé de la société Loomis, sans faire de blessés, rapportent les autorités. Les malfaiteurs ont pris la fuite. De source proche de l'enquête, on précise que les braqueurs se seraient emparés de la plus grande partie de l'argent contenu dans le fourgon qui transportait entre six et sept millions d'euros. "Ils ont tiré pour tuer, c'est un miracle qu'il n'y ait pas eu de blessé", a dit le procureur Jacques Dallest à la presse. "Ce n'est pas une équipe de braqueurs chevronnés, mais des fous dangereux qui n'ont pas hésité à tirer sur des convoyeurs, des policiers et des passants", a ajouté le directeur de la police judiciaire marseillaise, Roland Gauze. L'attaque s'est produite dans un lieu fréquenté et à une heure de forte affluence. (La Tribune - Reuters)
Source: Yahoo Actualités