Donald Franciszek Tusk, né le 22 avril 1957 à Gdańsk, est un homme politique polonais, cofondateur et président de la Plate-forme civique, parti de centre droit membre du Parti populaire européen, "famille se situant au centre-droit de l'échiquier politique, dont les racines puisent dans l'histoire et la civilisation du continent européen et qui a, dès l'origine, œuvré pour le projet européen". Le Parti populaire européen "s'efforce de faire progresser l'objectif d'une Europe plus compétitive et plus démocratique, plus proche de ses citoyens, ainsi que d'une économie sociale de marché. Le PPE est le premier parti politique transnational à avoir été formé au niveau européen" (Wikipedia & PPE)
Donald Tusk président du Conseil européen: Le Premier ministre polonais Donald Tusk a été désigné comme futur président du Conseil européen, et la ministre italienne des Affaires étrangères, Federica Mogherini, comme chef de la diplomatie de l'UE, a annoncé samedi le président sortant du Conseil, Herman Van Rompuy. M. Van Rompuy a fait cette annonce sur son compte Twitter, peu après le début du sommet européen qui doit aussi envisager des sanctions contre la Russie accusée de nouvelle escalade en Ukraine. … Mme Mogherini, 41 ans, est issue du Parti démocrate italien membre de la famille socialiste européenne. Après la victoire écrasante du Parti démocrate aux élections européennes, qui en a fait le premier parti de gauche en Europe, le Premier ministre Matteo Renzi a poussé sa candidature pour succéder en novembre à la Britannique Catherine Ashton. (7sur7.be)
Tusk, un «homme d’Etat pour l’Europe» selon Van Rompuy: Herman Van Rompuy a ensuite interrompu le sommet pour, accompagné des deux promus, aller présenter la décision à la presse, «prise avec le soutien total du Conseil», a-t-il soutenu en dépit de l’info sur la Lituanienne. Le sortant a évoqué son «bon ami Donald Tusk», qui « a impressionné ses collègues et le monde extérieur par la manière confiante et déterminée avec laquelle il a mené son pays à travers la crise économique, réussissant à maintenir une ferme croissance économique sans jamais tomber en récession. » Bref, le nouveau Président est un «homme d’État pour l’Europe».
Quant à Federica Mogherini, M. Van Rompuy a vanté son travail - récent et bref - aux Affaires étrangères «en ces temps troublés», déclarant que «le Conseil européen est convaincu qu’elle prouvera ses talents et son efficacité de médiatrice, négociatrice et défenderesse de la place de l’Europe dans le monde.» (lesoir.be)
Donald Tusk président du Conseil européen: Le Premier ministre polonais Donald Tusk a été désigné comme futur président du Conseil européen, et la ministre italienne des Affaires étrangères, Federica Mogherini, comme chef de la diplomatie de l'UE, a annoncé samedi le président sortant du Conseil, Herman Van Rompuy. M. Van Rompuy a fait cette annonce sur son compte Twitter, peu après le début du sommet européen qui doit aussi envisager des sanctions contre la Russie accusée de nouvelle escalade en Ukraine. … Mme Mogherini, 41 ans, est issue du Parti démocrate italien membre de la famille socialiste européenne. Après la victoire écrasante du Parti démocrate aux élections européennes, qui en a fait le premier parti de gauche en Europe, le Premier ministre Matteo Renzi a poussé sa candidature pour succéder en novembre à la Britannique Catherine Ashton. (7sur7.be)
Tusk, un «homme d’Etat pour l’Europe» selon Van Rompuy: Herman Van Rompuy a ensuite interrompu le sommet pour, accompagné des deux promus, aller présenter la décision à la presse, «prise avec le soutien total du Conseil», a-t-il soutenu en dépit de l’info sur la Lituanienne. Le sortant a évoqué son «bon ami Donald Tusk», qui « a impressionné ses collègues et le monde extérieur par la manière confiante et déterminée avec laquelle il a mené son pays à travers la crise économique, réussissant à maintenir une ferme croissance économique sans jamais tomber en récession. » Bref, le nouveau Président est un «homme d’État pour l’Europe».
Quant à Federica Mogherini, M. Van Rompuy a vanté son travail - récent et bref - aux Affaires étrangères «en ces temps troublés», déclarant que «le Conseil européen est convaincu qu’elle prouvera ses talents et son efficacité de médiatrice, négociatrice et défenderesse de la place de l’Europe dans le monde.» (lesoir.be)