Plusieurs ressortissants maliens qui repartaient en France, où ils résident, ont été bloqués à l’aéroport de Bamako. Outre leurs passeports, ils ont présenté un récépissé de séjour en France, un document certes provisoire, mais qui les autorise à séjourner dans l'Hexagone.
Ils étaient donc en règle mais en remplissant les formalités de départ, des responsables de deux compagnies, Air France et Aigle Azur, les ont empêchés de monter à bord, créant un petit remue-ménage dans le terminal.
Un responsable de l’association française des expulsés, présent sur les lieux, proteste énergiquement. Informées, les forces de sécurité sur place interpellent les deux responsables français des deux compagnies aériennes pour les entendre.
On découvre alors que les récipissés de séjour en question étaient bel et bien valables mais les passagers débarqués ne remonteront pas dans l'avion.
Ce jeudi 25 juin, une réunion entre les responsables des deux compagnies aériennes et les autorités maliennes était prévue, il s’agissait de tirer l’affaire au clair. Mais à Bamako, on tape déjà du poing sur la table : « Il faut que l'on respecte nos ressortissants », martèle un officiel malien.
Source: Rewmi
Ils étaient donc en règle mais en remplissant les formalités de départ, des responsables de deux compagnies, Air France et Aigle Azur, les ont empêchés de monter à bord, créant un petit remue-ménage dans le terminal.
Un responsable de l’association française des expulsés, présent sur les lieux, proteste énergiquement. Informées, les forces de sécurité sur place interpellent les deux responsables français des deux compagnies aériennes pour les entendre.
On découvre alors que les récipissés de séjour en question étaient bel et bien valables mais les passagers débarqués ne remonteront pas dans l'avion.
Ce jeudi 25 juin, une réunion entre les responsables des deux compagnies aériennes et les autorités maliennes était prévue, il s’agissait de tirer l’affaire au clair. Mais à Bamako, on tape déjà du poing sur la table : « Il faut que l'on respecte nos ressortissants », martèle un officiel malien.
Source: Rewmi