Didier Drogba titulaire à Levallois
Nicolas, 12 ans, licencié de Levallois, peut dorénavant chambrer André-Pierre Gignac, 24 ans, professionnel de l'OM. Lui a joué contre Didier Drogba cette semaine alors que l'international n'a pu se mesurer à l'Ivoirien, suspendu mardi soir en Ligue des Champions. «Bon, il a fait une passe décisive à l'équipe adverse mais ce n'est pas grave, je l'ai vu, comme il a dribblé et tout...», lâche le blondinet même pas essoufflé.Forcément, le match de Drogba contre les gamins n'a pas duré longtemps. Service d'ordre débordé et pelouse envahie à chaque touche de balle de la star. L'essentiel est la présence de l'Ivoirien. Serré de près par le couple Balkany et submergé par les appareils-photos, Drogba a tenu à faire honneur au petit stade qui porte dorénavant son nom. Un terrain sur lequel il a joué pendant quatre ans, de 15 à 19 ans, avant de filer au Mans, son premier club pro. «A Levallois, on partait à plusieurs équipes le dimanche. On partageait les sandwichs. Ca t'apprend certaines valeurs avant de monter en pro», glisse l'homme qui pèse aujourdhui plus de 600.000 euros mensuels.Dans l'ouest parisien, on n'a pas oublié le grand dadet devenu The Drog, star de Premier League. «Il a fini la saison avec nous, tonitruant en marquant beaucoup de buts. Il était déjà physique et surtout très rapide, détaille Franck Caderby, capitaine de l'équipe de Nationale 2 à l'époque. Trois ans après Levallois, il m'a reçu dans les vestiaires de Guingamp, il ne mavait pas oublié.» Jamais avare d'un mot sur ses anciens clubs, Didier Drogba a de la mémoire. Pape Diouf, ancien président de l'OM, présent à Levallois «en ami» confirme: «Dans un milieu plutôt prompt à loubli, un garçon qui se souvient d'où il vient, c'est plutôt rafraichissant. Ca illustre le caractère du bonhomme.»(20minute)
Le deuxième de la Vuelta contrôlé positif
L'Espagnol Ezequiel Mosquera, qui s'est classé deuxième de la récente Vuelta, a fait l'objet d'un contrôle antidopage positif, a annoncé jeudi l'Union cycliste internationale (UCI). Son coéquipier de la formation Xacobeo, l'Espagnol David Garcia, a lui aussi été contrôlé positif lors de la Vuelta, a ajouté l'UCI.Les deux coureurs de l'équipe Xacobeo ont été contrôlés le même jour, le 16 septembre, à l'occasion de la 18e étape, à trois jours de la fin de la course. Le produit en cause est l'HES (Hydroxyéthylamidon), une substance fluidifiant le sang. Ce substitut de plasma sanguin peut masquer la prise d'EPO en faisant baisser l'hématocrite.Selon leur manageur Juan Campos, les deux coureurs «n'ont reçu aucune notification jusqu'à présent». Ce dernier a déclaré que si les coureurs reçoivent une notification, «ils allègueront d'un vice de procédure, puisque les instances internationales doivent en premier lieu communiquer cela aux joueurs, et ensuite aux médias».Tous deux se sont signalés durant la Vuelta. Plus encore que Garcia, 11e du classement final, Mosquera a lutté tout en haut de tableau. Mais, à 34 ans, il a été rattrapé par les radars de l'antidopage.Ce coureur sans palmarès notable, membre d'une équipe Continental Pro (l'équivalent de la deuxième division), s'est classé depuis 2007 dans les cinq premiers de son grand tour national. Cinquième en 2007 et 2009, quatrième en 2008, il avait même cette année lutté jusqu'au bout pour la victoire.Vainqueur le 18 septembre de l'avant-dernière étape, au sommet du Bola del Mundo, Mosquera avait terminé à la deuxième place du classement final, à seulement 41 secondes du vainqueur italien Vincenzo Nibali.(Libération)
Source Yahoo Actualités
Nicolas, 12 ans, licencié de Levallois, peut dorénavant chambrer André-Pierre Gignac, 24 ans, professionnel de l'OM. Lui a joué contre Didier Drogba cette semaine alors que l'international n'a pu se mesurer à l'Ivoirien, suspendu mardi soir en Ligue des Champions. «Bon, il a fait une passe décisive à l'équipe adverse mais ce n'est pas grave, je l'ai vu, comme il a dribblé et tout...», lâche le blondinet même pas essoufflé.Forcément, le match de Drogba contre les gamins n'a pas duré longtemps. Service d'ordre débordé et pelouse envahie à chaque touche de balle de la star. L'essentiel est la présence de l'Ivoirien. Serré de près par le couple Balkany et submergé par les appareils-photos, Drogba a tenu à faire honneur au petit stade qui porte dorénavant son nom. Un terrain sur lequel il a joué pendant quatre ans, de 15 à 19 ans, avant de filer au Mans, son premier club pro. «A Levallois, on partait à plusieurs équipes le dimanche. On partageait les sandwichs. Ca t'apprend certaines valeurs avant de monter en pro», glisse l'homme qui pèse aujourdhui plus de 600.000 euros mensuels.Dans l'ouest parisien, on n'a pas oublié le grand dadet devenu The Drog, star de Premier League. «Il a fini la saison avec nous, tonitruant en marquant beaucoup de buts. Il était déjà physique et surtout très rapide, détaille Franck Caderby, capitaine de l'équipe de Nationale 2 à l'époque. Trois ans après Levallois, il m'a reçu dans les vestiaires de Guingamp, il ne mavait pas oublié.» Jamais avare d'un mot sur ses anciens clubs, Didier Drogba a de la mémoire. Pape Diouf, ancien président de l'OM, présent à Levallois «en ami» confirme: «Dans un milieu plutôt prompt à loubli, un garçon qui se souvient d'où il vient, c'est plutôt rafraichissant. Ca illustre le caractère du bonhomme.»(20minute)
Le deuxième de la Vuelta contrôlé positif
L'Espagnol Ezequiel Mosquera, qui s'est classé deuxième de la récente Vuelta, a fait l'objet d'un contrôle antidopage positif, a annoncé jeudi l'Union cycliste internationale (UCI). Son coéquipier de la formation Xacobeo, l'Espagnol David Garcia, a lui aussi été contrôlé positif lors de la Vuelta, a ajouté l'UCI.Les deux coureurs de l'équipe Xacobeo ont été contrôlés le même jour, le 16 septembre, à l'occasion de la 18e étape, à trois jours de la fin de la course. Le produit en cause est l'HES (Hydroxyéthylamidon), une substance fluidifiant le sang. Ce substitut de plasma sanguin peut masquer la prise d'EPO en faisant baisser l'hématocrite.Selon leur manageur Juan Campos, les deux coureurs «n'ont reçu aucune notification jusqu'à présent». Ce dernier a déclaré que si les coureurs reçoivent une notification, «ils allègueront d'un vice de procédure, puisque les instances internationales doivent en premier lieu communiquer cela aux joueurs, et ensuite aux médias».Tous deux se sont signalés durant la Vuelta. Plus encore que Garcia, 11e du classement final, Mosquera a lutté tout en haut de tableau. Mais, à 34 ans, il a été rattrapé par les radars de l'antidopage.Ce coureur sans palmarès notable, membre d'une équipe Continental Pro (l'équivalent de la deuxième division), s'est classé depuis 2007 dans les cinq premiers de son grand tour national. Cinquième en 2007 et 2009, quatrième en 2008, il avait même cette année lutté jusqu'au bout pour la victoire.Vainqueur le 18 septembre de l'avant-dernière étape, au sommet du Bola del Mundo, Mosquera avait terminé à la deuxième place du classement final, à seulement 41 secondes du vainqueur italien Vincenzo Nibali.(Libération)
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