Ces empreintes ont été comparées à celles des époux Villemin, parents de la victime, et la comparaison est négative, a dit Jean-Marie Beney à Reuters.
"Leurs empreintes génétiques n'apparaissent nulle part sur les scellés", a-t-il dit, après avoir pris connaissance des conclusions d'un rapport d'experts.
Un ADN féminin a été isolé sur un timbre d'une lettre anonyme envoyée en juillet 1985 aux parents de Grégory, donc après la mort de l'enfant mais aussi après la mort de Bernard Laroche, premier suspect de l'affaire, qui avait été assassiné par le père de Grégory.
Un ADN masculin est isolé sur la même lettre. Enfin, des traces ont été isolées sur une cordelette ayant servi à ligoter l'enfant avant de le jeter dans la Vologne.
Il n'est pas certain que cette trace, qui n'est pas une empreinte, permette une comparaison, a-t-il dit.
Source: Reuters via Yahoo News
"Leurs empreintes génétiques n'apparaissent nulle part sur les scellés", a-t-il dit, après avoir pris connaissance des conclusions d'un rapport d'experts.
Un ADN féminin a été isolé sur un timbre d'une lettre anonyme envoyée en juillet 1985 aux parents de Grégory, donc après la mort de l'enfant mais aussi après la mort de Bernard Laroche, premier suspect de l'affaire, qui avait été assassiné par le père de Grégory.
Un ADN masculin est isolé sur la même lettre. Enfin, des traces ont été isolées sur une cordelette ayant servi à ligoter l'enfant avant de le jeter dans la Vologne.
Il n'est pas certain que cette trace, qui n'est pas une empreinte, permette une comparaison, a-t-il dit.
Source: Reuters via Yahoo News