Marie-Eve Malouines, chef du service politique de France-Info, et Françoise Fressoz, chef du service France-Europe du quotidien "Le Monde", toutes les deux nommées chevaliers, figuraient sur la liste des personnalités publiée le 1er janvier au Journal officiel, dans le contingent du secrétariat d'Etat aux Relations avec le Parlement.
Estimant que rien dans leur parcours ne justifiait pareille distinction, les deux journalistes ont annoncé qu'elles refusaient une décoration qu'elles ont découvert "avec grand étonnement" après la publication de la liste au JO.
"Je n'ai jamais réclamé une telle distinction, ni même été sollicitée en vue d'une telle démarche", a précisé Marie-Eve Malouines dans un communiqué. "Contrairement à l'usage, je n'ai été informée de rien avant la publication de cette liste", a déclaré de son côté Françoise Fressoz.
Dans l'entourage du secrétaire d'Etat aux Relations avec le Parlement Roger Karoutchi, on expliquait que les deux journalistes avaient été recommandées par l'Association de la presse parlementaire, et que leurs dossiers avaient été instruits par la Grande chancellerie de la Légion d'Honneur. On soulignait également que la liste comprenait plusieurs "anciens parlementaires de gauche". "Il s'agit d'une liste de personnes décorables. La décoration n'est effective que le jour où elle est remise", rappelait-on de même source.
Source: Yahoo News
Estimant que rien dans leur parcours ne justifiait pareille distinction, les deux journalistes ont annoncé qu'elles refusaient une décoration qu'elles ont découvert "avec grand étonnement" après la publication de la liste au JO.
"Je n'ai jamais réclamé une telle distinction, ni même été sollicitée en vue d'une telle démarche", a précisé Marie-Eve Malouines dans un communiqué. "Contrairement à l'usage, je n'ai été informée de rien avant la publication de cette liste", a déclaré de son côté Françoise Fressoz.
Dans l'entourage du secrétaire d'Etat aux Relations avec le Parlement Roger Karoutchi, on expliquait que les deux journalistes avaient été recommandées par l'Association de la presse parlementaire, et que leurs dossiers avaient été instruits par la Grande chancellerie de la Légion d'Honneur. On soulignait également que la liste comprenait plusieurs "anciens parlementaires de gauche". "Il s'agit d'une liste de personnes décorables. La décoration n'est effective que le jour où elle est remise", rappelait-on de même source.
Source: Yahoo News