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Interpellés mardi lors d'un coup de filet dans le sud-est de l'Île-de-France, les dix hommes en question âgés de 25 à 57 ans ont été mis en examen vendredi et samedi pour " acquisition, détention, cession et transport en réunion" d'armes de catégorie A et B" Ces catégories sont attribuées aux armes de guerre et de poing.
Le réseau présumé compte de militaires de 31 ans. L'un travaillant au ministère de la Défense, le second sur une base dans l'Est de la France. Mais aussi, d'anciens militaires et des collectionneurs. Certains sont soupçonnés d’êtres plus ou moins proche de la "mouvance de l'ultradoite" dit l'accusation.
Le stocke saisitestt "tout à fait exceptionnel" considère la représentante du ministère publique lors d'une audience devant le juge des libertés et de la détention (JLD). Ce juge a ordonné le placement de cinq des prévenus en détention provisoire. Quatre autres suspects sont incarcérés en attente du JLD. Un dixième homme a été libéré sous contrôle judiciaire.
« Plusieurs tonnes d’armes et de munitions ont été saisies et une cache d’armes a été découverte lors des perquisitions », selon Le Monde.
Certains sont soupçonnés d'avoir acheté des fusils d’assaut, pistolets automatiques etfusils-mitrailleurs rendus inactifs selon TF1. « Cet arsenal était ensuite rendu à nouveau actif, remilitarisé, avant d’être revendu au marché noir aux plus offrants » toujours selon la chaîne.
« C’est un dossier qui est allé relativement vite, les investigations ont permis de conforter les éléments d’un renseignement initial et d’élargir le cercle » pour aboutir sur » un trafic particulièrement actif d’armes », a précisé la magistrate du parquet.
Elle détail des investigations longues de plusieurs mois.
Des transactions ont été faites entre le groupe et des collectionneurs ou narcotrafiquants.
Les armes saisies seront analysées pour des terminer leur provenance et leur utilisation lors de crimes et délits. Les enquêteurs doivent aussi établir un projet d'action violente en cours avec ces armes.
Le réseau présumé compte de militaires de 31 ans. L'un travaillant au ministère de la Défense, le second sur une base dans l'Est de la France. Mais aussi, d'anciens militaires et des collectionneurs. Certains sont soupçonnés d’êtres plus ou moins proche de la "mouvance de l'ultradoite" dit l'accusation.
Le stocke saisitestt "tout à fait exceptionnel" considère la représentante du ministère publique lors d'une audience devant le juge des libertés et de la détention (JLD). Ce juge a ordonné le placement de cinq des prévenus en détention provisoire. Quatre autres suspects sont incarcérés en attente du JLD. Un dixième homme a été libéré sous contrôle judiciaire.
« Plusieurs tonnes d’armes et de munitions ont été saisies et une cache d’armes a été découverte lors des perquisitions », selon Le Monde.
Certains sont soupçonnés d'avoir acheté des fusils d’assaut, pistolets automatiques etfusils-mitrailleurs rendus inactifs selon TF1. « Cet arsenal était ensuite rendu à nouveau actif, remilitarisé, avant d’être revendu au marché noir aux plus offrants » toujours selon la chaîne.
« C’est un dossier qui est allé relativement vite, les investigations ont permis de conforter les éléments d’un renseignement initial et d’élargir le cercle » pour aboutir sur » un trafic particulièrement actif d’armes », a précisé la magistrate du parquet.
Elle détail des investigations longues de plusieurs mois.
Des transactions ont été faites entre le groupe et des collectionneurs ou narcotrafiquants.
Les armes saisies seront analysées pour des terminer leur provenance et leur utilisation lors de crimes et délits. Les enquêteurs doivent aussi établir un projet d'action violente en cours avec ces armes.