Ces salariés de la banque d'investissement filiale de Commerzbank, dont certains ont désormais quitté la société, affirment n'avoir perçu que 10% des sommes qu'ils estiment être en droit de percevoir. Ils sollicitent donc le versement complémentaire de 30 millions de livres, soit 34,16 millions d'euros, au titre des primes promises. Ils sollicitent également le paiement d'indemnités journalières de retard.
Les requérants estiment non acceptable l'invocation par leur maison-mère d'une «clause d'évolution matérielle contraire» pour justifier le règlement partiel de leurs primes, arguant qu'ils ont rapporté plus d'un milliard d'euros à leur employeur l'an dernier.
Ils précisent par ailleurs que Dresdner Kleinwort avait prévu de verser 400 millions d'euros de bonus, avant que Commerzbank n'intervienne et ne limite le paiement des primes. Commerzbank, dont le quart du capital est détenu par l'Etat allemand, a pris le contrôle de cette filiale à l'automne 2008, en rachetant Dresdner Bank, victime de la crise.
Une petite trentaine d'autres salariés de Dresdner Kleinwort pourraient lancer une procédure parallèle dans les semaines qui viennent.
La justice a déjà eu à se prononcer sur des questions de rémunérations variables chez Dresdner Kleinwort, évoquant notamment un jugement rendu le mois dernier, en faveur des quatre banquiers plaignants.
Face aux nouvelles plaintes qui émergent dans sa filiale d'investissement, Commerzbank entend camper ses positions. «Dre... lire la suite de l'article sur lefigaro.fr
Source: Le Figaro via Yhaoo News
Les requérants estiment non acceptable l'invocation par leur maison-mère d'une «clause d'évolution matérielle contraire» pour justifier le règlement partiel de leurs primes, arguant qu'ils ont rapporté plus d'un milliard d'euros à leur employeur l'an dernier.
Ils précisent par ailleurs que Dresdner Kleinwort avait prévu de verser 400 millions d'euros de bonus, avant que Commerzbank n'intervienne et ne limite le paiement des primes. Commerzbank, dont le quart du capital est détenu par l'Etat allemand, a pris le contrôle de cette filiale à l'automne 2008, en rachetant Dresdner Bank, victime de la crise.
Une petite trentaine d'autres salariés de Dresdner Kleinwort pourraient lancer une procédure parallèle dans les semaines qui viennent.
La justice a déjà eu à se prononcer sur des questions de rémunérations variables chez Dresdner Kleinwort, évoquant notamment un jugement rendu le mois dernier, en faveur des quatre banquiers plaignants.
Face aux nouvelles plaintes qui émergent dans sa filiale d'investissement, Commerzbank entend camper ses positions. «Dre... lire la suite de l'article sur lefigaro.fr
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