Depuis le "bilan médical d'un jour" de sept heures et demie à l'hôpital universitaire Keio de Shinano-cho, à Tokyo, le 17 mars, puis le 24 mars" l’état de santé de ce dernier a suscité des rumeurs et a fait couler beaucoup d’encre depuis. Cette fois ci, les nouvelles sont tombées, le premier Ministre japonais a préféré démissionner de ses fonctions en raison de l'aggravation de sa condition de santé. Cela met fin à une administration qui a duré sept ans et demi.
Le Premier ministre Shinzo Abe, 65 ans, a décidé de démissionner. Un haut fonctionnaire de l'administration a fait cette annonce le 28 avril. Environ sept ans et demi se sont écoulés depuis la formation du deuxième cabinet en décembre 2012. Il a quitté ses fonctions sans feuille de route pour la révision de la constitution ou la résolution de la question des enlèvements par la Corée du Nord, deux dossiers qu'il avait indiqué vouloir poursuivre. Bien qu'elle ait été décrite comme "la plus forte du groupe", la nouvelle politique en matière de coronavirus s'était égarée, et les taux d'approbation du parti étaient en baisse. Le LDP va rapidement organiser une élection pour la présidence et élire un nouveau président.
En 2007, il y avait déjà eu un cas précédent. Au cours de son premier mandat à la tête de l’administration, il a déjà démissionné après avoir souffert de colite ulcéreuse, une maladie chronique. Il a par la suite pu former un deuxième cabinet en décembre 2012, mais son bilan de santé d'une journée a fait courir des rumeurs selon lesquelles il était en mauvaise.
Le concerné lui même a confirmé son intention de démissionner.
Parmi les candidats pour sa succession, l'après-Abe se dessine en coulisse. Parmi les pressentis, Le président du Conseil de recherche politique du Parti libéral démocrate (PLD), Fumio Kishida, et l'ancien secrétaire général du PLD, Shigeru Ishiba, qui ont tous deux exprimé leur intérêt pour ce poste.
Le Premier ministre Shinzo Abe, 65 ans, a décidé de démissionner. Un haut fonctionnaire de l'administration a fait cette annonce le 28 avril. Environ sept ans et demi se sont écoulés depuis la formation du deuxième cabinet en décembre 2012. Il a quitté ses fonctions sans feuille de route pour la révision de la constitution ou la résolution de la question des enlèvements par la Corée du Nord, deux dossiers qu'il avait indiqué vouloir poursuivre. Bien qu'elle ait été décrite comme "la plus forte du groupe", la nouvelle politique en matière de coronavirus s'était égarée, et les taux d'approbation du parti étaient en baisse. Le LDP va rapidement organiser une élection pour la présidence et élire un nouveau président.
En 2007, il y avait déjà eu un cas précédent. Au cours de son premier mandat à la tête de l’administration, il a déjà démissionné après avoir souffert de colite ulcéreuse, une maladie chronique. Il a par la suite pu former un deuxième cabinet en décembre 2012, mais son bilan de santé d'une journée a fait courir des rumeurs selon lesquelles il était en mauvaise.
Le concerné lui même a confirmé son intention de démissionner.
Parmi les candidats pour sa succession, l'après-Abe se dessine en coulisse. Parmi les pressentis, Le président du Conseil de recherche politique du Parti libéral démocrate (PLD), Fumio Kishida, et l'ancien secrétaire général du PLD, Shigeru Ishiba, qui ont tous deux exprimé leur intérêt pour ce poste.