"Nous avons réussi à démanteler le réseau des personnes qui aidaient Stojan Zupljanin et Radovan Karadzic", arrêtés respectivement en juin et en juillet en Serbie, a précisé le porte-parole, Bruno Vekaric.
Mais l'enquête a permis également d'établir que Stojan Zupljanin, lui aussi Serbe de Bosnie, a aussi résidé dans plusieurs pays, comme la Russie, la France, le Nigeria et le Monténégro, sous l'identité d'une personne décédée, a-t-on ajouté de même source.
Le Tribunal pénal international pour l'ex-Yougoslavie à La Haye (TPI) a réclamé pendant des années des autorités serbes l'arrestation de Radovan Karadzic et de Stojan Zupljanin pour leur rôle pendant les guerres de Bosnie (1992-1995).
"Nous avons arrêté et commencé à interroger plusieurs personnes soupçonnées d'être les membres du réseau qui les aidaient", a précisé M. Vekaric. "Trente personnes au total font l'objet d'une enquête".
Selon le porte-parole, le réseau comprend d'anciens hauts responsables locaux de plusieurs villes en Serbie, qui étaient en fonction jusqu'aux élections législatives et municipales de mai dernier, ainsi que des responsables de la police à l'époque et un professeur d'université.
Ces élections ont vu la percée des forces pro-européennes du président Boris Tadic.
"Nous espérons que (le démantèlement du réseau) nous mènera au système permettant à Ratko Mladic de se cacher", a-t-il relevé.
Mladic, l'ancien chef militaire des Serbes de Bosnie, échappe aussi depuis des années à la justice internationale.
Tout comme Radovan Karadzic, il a été inculpé notamment pour génocide par le TPI pour son rôle pendant les guerres de Bosnie.
Les Européens conditionnent une avancée des perspectives européennes de la Serbie à l'arrestation du général Mladic, ainsi que celle d'une personnalité de moindre importance, l'ancien chef des Serbes de Croatie, Goran Hadzic.
"Nous avons réussi à percer un code chiffré appartenant à Zupljanin qui nous a aidés à reconstituer les personnes qui l'aidaient, comment elles procédaient et dans quels endroits, ainsi que ses déplacements et les lieux où il se cachait depuis 1999", a expliqué M. Vekaric.
Source; Dabio
Mais l'enquête a permis également d'établir que Stojan Zupljanin, lui aussi Serbe de Bosnie, a aussi résidé dans plusieurs pays, comme la Russie, la France, le Nigeria et le Monténégro, sous l'identité d'une personne décédée, a-t-on ajouté de même source.
Le Tribunal pénal international pour l'ex-Yougoslavie à La Haye (TPI) a réclamé pendant des années des autorités serbes l'arrestation de Radovan Karadzic et de Stojan Zupljanin pour leur rôle pendant les guerres de Bosnie (1992-1995).
"Nous avons arrêté et commencé à interroger plusieurs personnes soupçonnées d'être les membres du réseau qui les aidaient", a précisé M. Vekaric. "Trente personnes au total font l'objet d'une enquête".
Selon le porte-parole, le réseau comprend d'anciens hauts responsables locaux de plusieurs villes en Serbie, qui étaient en fonction jusqu'aux élections législatives et municipales de mai dernier, ainsi que des responsables de la police à l'époque et un professeur d'université.
Ces élections ont vu la percée des forces pro-européennes du président Boris Tadic.
"Nous espérons que (le démantèlement du réseau) nous mènera au système permettant à Ratko Mladic de se cacher", a-t-il relevé.
Mladic, l'ancien chef militaire des Serbes de Bosnie, échappe aussi depuis des années à la justice internationale.
Tout comme Radovan Karadzic, il a été inculpé notamment pour génocide par le TPI pour son rôle pendant les guerres de Bosnie.
Les Européens conditionnent une avancée des perspectives européennes de la Serbie à l'arrestation du général Mladic, ainsi que celle d'une personnalité de moindre importance, l'ancien chef des Serbes de Croatie, Goran Hadzic.
"Nous avons réussi à percer un code chiffré appartenant à Zupljanin qui nous a aidés à reconstituer les personnes qui l'aidaient, comment elles procédaient et dans quels endroits, ainsi que ses déplacements et les lieux où il se cachait depuis 1999", a expliqué M. Vekaric.
Source; Dabio