Les 53 tombes, dont certaines datent de plus de 4.000 ans, ont été mises au jour récemment sur un plateau sableux surplombant des champs du village de Illahoun, dans l'oasis de Fayoum, à environ 80 km de la capitale.
Les tombes présentées dimanche aux journalistes par l'équipe archéologique sont proches de la sépulture vieille de presque quatre millénaires du pharaon Sesostris II.
Trois sarcophage de bois étroits renfermant vraisemblablement des momies de femmes étaient alignés dans une des tombes. Les cercueils intérieurs sont peints pour donner une image des défuntes, d'où les couleurs bleu, jaune, marron et noir.
Dans une autre tombe, les ouvriers ont soulevé avec précaution le couvercle recouvert d'inscriptions religieuses, des prières en hiéroglyphes, pour faire apparaître une boite à momie. Elle appartiendrait à Isis Her Ib, la fille d'un maire d'Illahoun, il y a 4.000 ans, d'après Abdelramane el-Ayedi, secrétaire adjoint du conseil suprême égyptien des antiquités, qui supervise les excavations.
On sait peu de chose sur les utilisateurs de ce site funéraire, où certaines tombes comprenaient plusieurs chambres, une table à offrandes, des masques peints, des poteries, des statues et des amulettes, charmes protecteurs. Les archéologues ont l'intention de mener des recherches sur les os des momies mises au jour pour percer les mystères de leur alimentation, leur santé et les coutumes des gens qui vivaient dans les alentours.
Au-delà des écritures et de l'aspect artistique, des recherches en laboratoires seront menées, a précisé l'archéologue en chef.
Source: Yahoo News
Les tombes présentées dimanche aux journalistes par l'équipe archéologique sont proches de la sépulture vieille de presque quatre millénaires du pharaon Sesostris II.
Trois sarcophage de bois étroits renfermant vraisemblablement des momies de femmes étaient alignés dans une des tombes. Les cercueils intérieurs sont peints pour donner une image des défuntes, d'où les couleurs bleu, jaune, marron et noir.
Dans une autre tombe, les ouvriers ont soulevé avec précaution le couvercle recouvert d'inscriptions religieuses, des prières en hiéroglyphes, pour faire apparaître une boite à momie. Elle appartiendrait à Isis Her Ib, la fille d'un maire d'Illahoun, il y a 4.000 ans, d'après Abdelramane el-Ayedi, secrétaire adjoint du conseil suprême égyptien des antiquités, qui supervise les excavations.
On sait peu de chose sur les utilisateurs de ce site funéraire, où certaines tombes comprenaient plusieurs chambres, une table à offrandes, des masques peints, des poteries, des statues et des amulettes, charmes protecteurs. Les archéologues ont l'intention de mener des recherches sur les os des momies mises au jour pour percer les mystères de leur alimentation, leur santé et les coutumes des gens qui vivaient dans les alentours.
Au-delà des écritures et de l'aspect artistique, des recherches en laboratoires seront menées, a précisé l'archéologue en chef.
Source: Yahoo News