L'enfant, hospitalisé depuis le mois de septembre à l'hôpital de pédiatrie et de rééducation de Bullion (Yvelines) en attente d'une greffe d'intestin, avait été transféré à l'hôpital Paris Necker-enfants malades, où il est décédé.
L'autopsie, diligentée par le parquet de Paris et menée lundi matin à l'Institut médico-légal de Paris (IML), confirme que ce décès est lié à "une déshydratation massive, conséquence du passage dans le sang d'un produit alimentaire glucosé surdosé", a-t-on indiqué de même source.
"L'autopsie confirme que ce décès est lié à une erreur de dosage d'un substitut alimentaire", a-t-on ajouté de même source.
Le parquet de Versailles a de son côté ouvert une enquête préliminaire sur l'erreur médicale présumée proprement dite.
Afin de faire la lumière sur la mort de leur fils, les parents de Louis-Joseph, qui résident dans le Val-de-Marne, ont pour leur part déposé plainte au commissariat du Kremlin-Bicêtre pour non-assistance à personne en danger.
Pour le directeur de l'hôpital de Bullion, l'incident, survenu le jour de l'An, est dû à "l'erreur de deux personnels", une infirmière et une auxiliaire puéricultrice.
En changeant la perfusion de l'enfant, les deux femmes auraient tapé sur le clavier de l'appareil un débit bien trop important pour le bébé qui ne faisait que six kilos.
Source: Yahoo News
L'autopsie, diligentée par le parquet de Paris et menée lundi matin à l'Institut médico-légal de Paris (IML), confirme que ce décès est lié à "une déshydratation massive, conséquence du passage dans le sang d'un produit alimentaire glucosé surdosé", a-t-on indiqué de même source.
"L'autopsie confirme que ce décès est lié à une erreur de dosage d'un substitut alimentaire", a-t-on ajouté de même source.
Le parquet de Versailles a de son côté ouvert une enquête préliminaire sur l'erreur médicale présumée proprement dite.
Afin de faire la lumière sur la mort de leur fils, les parents de Louis-Joseph, qui résident dans le Val-de-Marne, ont pour leur part déposé plainte au commissariat du Kremlin-Bicêtre pour non-assistance à personne en danger.
Pour le directeur de l'hôpital de Bullion, l'incident, survenu le jour de l'An, est dû à "l'erreur de deux personnels", une infirmière et une auxiliaire puéricultrice.
En changeant la perfusion de l'enfant, les deux femmes auraient tapé sur le clavier de l'appareil un débit bien trop important pour le bébé qui ne faisait que six kilos.
Source: Yahoo News