La direction de la compagnie aérienne britannique déclare pouvoir assurer les vols de plus de 60% des passagers. Le mouvement, qui porte sur des revendications salariales et liées aux conditions de travail, est le résultat de l'échec de négociations entre la direction et le syndicat Unite. Une autre grève est annoncée entre le 27 et le 30 mars, au début des vacances de Pâques.
Unite affirme que la grève est fortement soutenue et que la situation sera plus difficile que ne veut le croire la compagnie. Cette grève est un vrai casse-tête pour le gouvernement travailliste à quelques semaines des élections législatives, Unite étant le plus gros contributeur financier du Labour.
Les liens entre Unite et le parti travailliste sont historiques, et le directeur politique actuel du syndicat, Charlie Whelan, est l'ancien porte-parole du Premier ministre Gordon Brown. Le chef de l'opposition conservatrice David Cameron a accusé Gordon Brown de privilégier les intérêts du syndicat au détriment des intérêts du pays, comparant la situation actuelle aux années 1970, période durant laquelle le Labour au pouvoir avait été confronté à des mouvements sociaux dans le pays.
La compagnie aérienne britannique, confrontée à une baisse de la demande, à la volatilité du prix du pétrole, et à une concurrence accrue de la part des 'low costs', cherche à économiser 62,5 millions de livres (69,5 millions d'euros).
Source: Reuters via Yahoo News
Unite affirme que la grève est fortement soutenue et que la situation sera plus difficile que ne veut le croire la compagnie. Cette grève est un vrai casse-tête pour le gouvernement travailliste à quelques semaines des élections législatives, Unite étant le plus gros contributeur financier du Labour.
Les liens entre Unite et le parti travailliste sont historiques, et le directeur politique actuel du syndicat, Charlie Whelan, est l'ancien porte-parole du Premier ministre Gordon Brown. Le chef de l'opposition conservatrice David Cameron a accusé Gordon Brown de privilégier les intérêts du syndicat au détriment des intérêts du pays, comparant la situation actuelle aux années 1970, période durant laquelle le Labour au pouvoir avait été confronté à des mouvements sociaux dans le pays.
La compagnie aérienne britannique, confrontée à une baisse de la demande, à la volatilité du prix du pétrole, et à une concurrence accrue de la part des 'low costs', cherche à économiser 62,5 millions de livres (69,5 millions d'euros).
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