"DSK n'ira pas en 2012": Sarkozy a fixé des éléments de langage à l'UMP
Comme l'a déjà remarqué Le Post, depuis plusieurs mois, Nicolas Sarkozy et les communiquants de l'Elysée font courir le bruit que le patron du FMI serait "trop loin" et "pas assez motivé" pour se lancer dans la bataille de 2012... Une petite musique notamment relayée par le conseiller présidentiel, Alain Minc. Nouvel épisode de ce matraquage ce mercredi dans un article du Figaro, intitulé: "La majorité ne croit pas à une candidature DSK en 2012". Cette fois, ce sont des membres de l'UMP qui répètent le message. "DSK donne le sentiment d'y aller à reculons", estime par exemple le patron des députés UMP, Jean-François Copé dans le quotidien. "Comme ce n'est pas un battant, il n'a pas envie d'entrer dans la mêlée", pense encore le député UMP villepiniste François Goulard. Le premier vice-président du groupe UMP, Jean Leonetti, croit savoir également que le socialiste n'est pas prêt à "mobiliser toute sa personne et sacrifier toute une partie de sa vie" pour "s'engager dans une campagne présidentielle". Et ainsi de suite... Alors, pourquoi les membres de la majorité répètent-ils tous quasi le même message? La communication politique est tout sauf improvisée. Toutes ces petites phrases ne sortent pas par hasard... Ainsi, comme l'expliquent les auteurs -très bien documentés- du livre "DSK-Sarkozy, le duel" (éditions Max Milo), depuis que Dominique Strauss-Kahn a bondi en tête des sondages fin 2009, c'est "danger DSK" à l'Elysée (Lire sur le sujet: "DSK fait peur à Sarkozy, la fièvre monte à l'Elysée..."). Du coup, pour affaiblir le patron du FMI et faire en sorte qu'il ne se retrouve pas face à l'actuel président lors de la présidentielle de 2012, Nicolas Sarkozy et son entourage auraient "distribué aux ministres et responsables de l'UMP des 'éléments de langage' à répercuter dans les déjeuners avec les journalistes"(lepost)
France 2 chouchoute-t-elle DSK?
Dans un papier intitulé "DSK, le superhéros du journal de France2" , le journaliste Samuel Gontier ironise sur le sujet de consacré à DSK dans le JT de David Pujadas lundi soir. Un reportage qui devait nous témoigner de "l'état d'esprit de Dominique Strauss-Kahn. "Nous avons pu suivre le directeur général du FMI dans son quotidien. Vingt-quatre heures dans la vie d'un homme occupé : c'est le dossier de cette édition", annonce David Pujadas, pour lancer un sujet réalisé par "nos envoyés spéciaux Marlyse Burgot et Laurent Debois", annonce David Pujadas.(lepost)
Comme l'a déjà remarqué Le Post, depuis plusieurs mois, Nicolas Sarkozy et les communiquants de l'Elysée font courir le bruit que le patron du FMI serait "trop loin" et "pas assez motivé" pour se lancer dans la bataille de 2012... Une petite musique notamment relayée par le conseiller présidentiel, Alain Minc. Nouvel épisode de ce matraquage ce mercredi dans un article du Figaro, intitulé: "La majorité ne croit pas à une candidature DSK en 2012". Cette fois, ce sont des membres de l'UMP qui répètent le message. "DSK donne le sentiment d'y aller à reculons", estime par exemple le patron des députés UMP, Jean-François Copé dans le quotidien. "Comme ce n'est pas un battant, il n'a pas envie d'entrer dans la mêlée", pense encore le député UMP villepiniste François Goulard. Le premier vice-président du groupe UMP, Jean Leonetti, croit savoir également que le socialiste n'est pas prêt à "mobiliser toute sa personne et sacrifier toute une partie de sa vie" pour "s'engager dans une campagne présidentielle". Et ainsi de suite... Alors, pourquoi les membres de la majorité répètent-ils tous quasi le même message? La communication politique est tout sauf improvisée. Toutes ces petites phrases ne sortent pas par hasard... Ainsi, comme l'expliquent les auteurs -très bien documentés- du livre "DSK-Sarkozy, le duel" (éditions Max Milo), depuis que Dominique Strauss-Kahn a bondi en tête des sondages fin 2009, c'est "danger DSK" à l'Elysée (Lire sur le sujet: "DSK fait peur à Sarkozy, la fièvre monte à l'Elysée..."). Du coup, pour affaiblir le patron du FMI et faire en sorte qu'il ne se retrouve pas face à l'actuel président lors de la présidentielle de 2012, Nicolas Sarkozy et son entourage auraient "distribué aux ministres et responsables de l'UMP des 'éléments de langage' à répercuter dans les déjeuners avec les journalistes"(lepost)
France 2 chouchoute-t-elle DSK?
Dans un papier intitulé "DSK, le superhéros du journal de France2" , le journaliste Samuel Gontier ironise sur le sujet de consacré à DSK dans le JT de David Pujadas lundi soir. Un reportage qui devait nous témoigner de "l'état d'esprit de Dominique Strauss-Kahn. "Nous avons pu suivre le directeur général du FMI dans son quotidien. Vingt-quatre heures dans la vie d'un homme occupé : c'est le dossier de cette édition", annonce David Pujadas, pour lancer un sujet réalisé par "nos envoyés spéciaux Marlyse Burgot et Laurent Debois", annonce David Pujadas.(lepost)