Que reproche-t-on à DSK, brillant économiste social- démocrate? D’avoir eu une faiblesse pour une économiste d’origine hongroise chargée du Ghana au département Afrique du FMI. Piroska Nagy aurait fini par céder aux avances insistantes de DSK lors du sommet de Davos en janvier dernier, ce qui tend à prouver que les altermondialistes ne sont pas la menace la plus sérieuse contre le FMI!
A-t-elle ensuite été contrainte au départ du FMI ou a-t-elle bénéficié de conditions favorables…
C’était tout l’enjeu d’une enquête – qui vient samedi de le blanchir – lancée par le doyen du conseil d’administration du FMI, l’Egyptien Shakour Shaalan, lui-même alerté par le représentant russe Alexeï Mojine, dont l’oreille traînait pour récolter les bruits de couloirs après que le mari trompé, l’économiste argentin Mario Blejer, trouve la preuve des rumeurs dans les mails compromettants sur l’ordinateur de son épouse. On navigue entre vaudeville et roman d’espionnage.
Source: http://www.tdg.ch/ Tribune de Génève, édition du 26.10.2008 | 23:00 par Stéphane bern |
«Néanmoins, le conseil d'administration a noté que l'incident était regrettable et représentait une grave erreur de jugement de la part du directeur général, comme il l'a reconnu et comme il s'en est excusé.» L'Egyptien Shakour Shaalan, doyen du conseil, a confirmé que l'institution allait «continuer à travailler» avec M. Strauss-Kahn et que ses excuses avaient été acceptées.
A-t-elle ensuite été contrainte au départ du FMI ou a-t-elle bénéficié de conditions favorables…
C’était tout l’enjeu d’une enquête – qui vient samedi de le blanchir – lancée par le doyen du conseil d’administration du FMI, l’Egyptien Shakour Shaalan, lui-même alerté par le représentant russe Alexeï Mojine, dont l’oreille traînait pour récolter les bruits de couloirs après que le mari trompé, l’économiste argentin Mario Blejer, trouve la preuve des rumeurs dans les mails compromettants sur l’ordinateur de son épouse. On navigue entre vaudeville et roman d’espionnage.
Source: http://www.tdg.ch/ Tribune de Génève, édition du 26.10.2008 | 23:00 par Stéphane bern |
«Néanmoins, le conseil d'administration a noté que l'incident était regrettable et représentait une grave erreur de jugement de la part du directeur général, comme il l'a reconnu et comme il s'en est excusé.» L'Egyptien Shakour Shaalan, doyen du conseil, a confirmé que l'institution allait «continuer à travailler» avec M. Strauss-Kahn et que ses excuses avaient été acceptées.