Les 388 millions d'électeurs appelés à élire 736 députés ne votent pas tous en même temps. Après les Néerlandais qui ont commencé à voter à 7 h 30 (heure française), et les Britanniques qui votent également pour des élections locales et dont les bureaux de vote se sont ouverts à 8 heures, ce sera le tour des Irlandais et des Tchèques, puis des Lettons, Slovaques, Maltais et Chypriotes. Dix-neuf des 27 pays de l'UE - dont l'Allemagne, la France, l'Italie, l'Espagne et la Pologne - voteront dimanche. La première estimation de la couleur politique du prochain Parlement devrait être annoncée ce jour-là vers 22 h 30 (heure française).
"Tout le monde s'attend à ce que le Parti populaire européen (conservateurs) perde un peu de voix, voire quelques sièges, mais à ce qu'il reste la première force du Parlement", estime Antonio Missiroli, analyste au European Policy Centre à Bruxelles. Car malgré la crise économique et la montée du chômage, socialistes et socio-démocrates, deuxième force actuelle, devraient enregistrer de piètres scores, peut-être même "un désastre", selon l'analyste. Beaucoup dépendra des résultats engrangés par les "antis" - les partis europhobes et eurosceptiques, situés aux extrêmes ou tout simplement marginaux - dont les listes ont poussé comme des champignons.
Le Parlement européen a recensé quelque 656 listes nationales, dont 160 listes rien qu'en France, 82 en Italie ou 33 au Royaume-Uni. Tous les analystes s'accordent à penser que les "antis" devraient faire un bon score. Aux Pays-Bas, le Parti de la liberté du populiste islamophobe Geert Wilders pourrait remporter trois sièges et 12 % des voix, selon un récent sondage. Ce qui le mettrait au coude-à-coude avec les...... lire la suite de l'article sur Lepoint.fr
Soource: Le Point via Yahoo News
"Tout le monde s'attend à ce que le Parti populaire européen (conservateurs) perde un peu de voix, voire quelques sièges, mais à ce qu'il reste la première force du Parlement", estime Antonio Missiroli, analyste au European Policy Centre à Bruxelles. Car malgré la crise économique et la montée du chômage, socialistes et socio-démocrates, deuxième force actuelle, devraient enregistrer de piètres scores, peut-être même "un désastre", selon l'analyste. Beaucoup dépendra des résultats engrangés par les "antis" - les partis europhobes et eurosceptiques, situés aux extrêmes ou tout simplement marginaux - dont les listes ont poussé comme des champignons.
Le Parlement européen a recensé quelque 656 listes nationales, dont 160 listes rien qu'en France, 82 en Italie ou 33 au Royaume-Uni. Tous les analystes s'accordent à penser que les "antis" devraient faire un bon score. Aux Pays-Bas, le Parti de la liberté du populiste islamophobe Geert Wilders pourrait remporter trois sièges et 12 % des voix, selon un récent sondage. Ce qui le mettrait au coude-à-coude avec les...... lire la suite de l'article sur Lepoint.fr
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