En présence de l’ambassadeur du Japon au Sénégal, M. Takashi Saito, et du représentant résident de la Jica à Dakar, Abdoulaye Diop a révélé, hier, que l’aide financière non remboursable du Japon accordée au Sénégal s’élève à 500 milliards FCfa.
Ces ressources ont permis de réaliser plusieurs infrastructures dont 120 forages, 1500 classes, deux grands marchés au poisson, des quais de pêche, deux grands hôpitaux et des aménagements hydroagricoles. L’ambassadeur Takashi Saito a estimé que cette concertation permet de tirer profit de la plate-forme multilatérale de dialogue mise en place depuis 1993 pour soutenir le développement de l’Afrique, à savoir la Ticad (Conférence de Tokyo sur le développement de l’Afrique).
Selon lui, les autorités japonaises ont réaffirmé à plusieurs occasions leur détermination à respecter les engagements affichés lors de la Ticad IV, à savoir le doublement de l’Apd du Japon en faveur de l’Afrique ainsi que l’investissement direct japonais sur le continent africain à l’horizon 2012. Jusqu’en 2004, l’Apd du Japon au Sénégal s’élevait au total cumulatif de 1061 millions de dollars américains, soit plus de 500 milliards FCfa dont plus de 103 milliards FCfa au titre de la coopération technique.
Le japon a également consenti au Sénégal une enveloppe de près de 55 milliards FCfa pour le secteur hydraulique, sous forme de subventions, depuis le début de sa coopération dans ce secteur, en 1979. Ces subventions ont permis la réalisation de plus de 13 projets d’infrastructures hydrauliques et la fourniture d’équipements sur l’étendue du territoire national dont 120 forages couplés de châteaux d’eau avec des systèmes d’adduction d’eau potable, en faveur de 1.234.000 habitants.
Dans le domaine de l’éducation et des ressources humaines, 1500 salles de classe pour l’enseignement élémentaire ont été construites entre 1991 et 2003 dans les régions de Dakar, Thiès, Fatick, Kaolack et Louga. Et la Jica a entrepris des interventions dans des domaines de la santé, de l’environnement, de la pêche, de l’agriculture et des infrastructures de base.
Cette revue annuelle conjointe visait à assurer une large concertation entre les différents acteurs sur sa mise en œuvre, à identifier les principales contraintes et à formuler des recommandations en vue d’une plus grande efficacité dans la réalisation des activités.
Source: Le Soleil
Ces ressources ont permis de réaliser plusieurs infrastructures dont 120 forages, 1500 classes, deux grands marchés au poisson, des quais de pêche, deux grands hôpitaux et des aménagements hydroagricoles. L’ambassadeur Takashi Saito a estimé que cette concertation permet de tirer profit de la plate-forme multilatérale de dialogue mise en place depuis 1993 pour soutenir le développement de l’Afrique, à savoir la Ticad (Conférence de Tokyo sur le développement de l’Afrique).
Selon lui, les autorités japonaises ont réaffirmé à plusieurs occasions leur détermination à respecter les engagements affichés lors de la Ticad IV, à savoir le doublement de l’Apd du Japon en faveur de l’Afrique ainsi que l’investissement direct japonais sur le continent africain à l’horizon 2012. Jusqu’en 2004, l’Apd du Japon au Sénégal s’élevait au total cumulatif de 1061 millions de dollars américains, soit plus de 500 milliards FCfa dont plus de 103 milliards FCfa au titre de la coopération technique.
Le japon a également consenti au Sénégal une enveloppe de près de 55 milliards FCfa pour le secteur hydraulique, sous forme de subventions, depuis le début de sa coopération dans ce secteur, en 1979. Ces subventions ont permis la réalisation de plus de 13 projets d’infrastructures hydrauliques et la fourniture d’équipements sur l’étendue du territoire national dont 120 forages couplés de châteaux d’eau avec des systèmes d’adduction d’eau potable, en faveur de 1.234.000 habitants.
Dans le domaine de l’éducation et des ressources humaines, 1500 salles de classe pour l’enseignement élémentaire ont été construites entre 1991 et 2003 dans les régions de Dakar, Thiès, Fatick, Kaolack et Louga. Et la Jica a entrepris des interventions dans des domaines de la santé, de l’environnement, de la pêche, de l’agriculture et des infrastructures de base.
Cette revue annuelle conjointe visait à assurer une large concertation entre les différents acteurs sur sa mise en œuvre, à identifier les principales contraintes et à formuler des recommandations en vue d’une plus grande efficacité dans la réalisation des activités.
Source: Le Soleil