La mission de l'ONU en RDC (MONUC) a affirmé que "la situation sécuritaire était stable". Le chef rebelle tutsi congolais Laurent Nkunda, dont les troupes s'étaient arrêtées mercredi aux portes de la ville, a néanmoins assuré que les Casques bleus de l'ONU ne pourraient pas "l'empêcher" de prendre la ville, capitale provinciale du Nord-Kivu.
Les habitants de Goma ne se risquaient pas jeudi matin dans les rues. Selon le Comité international de la Croix-Rouge (CICR), la situation humanitaire est catastrophique. Des pillages ont eu lieu dans la ville et des dizaines de milliers de déplacés continuent de fuir les combats entre rebelles et forces gouvernementales.
"Les besoins sont multiples en nourriture, eau, secours médicaux et non alimentaires", a déclaré à Genève un porte-parole de l'organisation.
"Nous craignons que les pillages se poursuivent. La situation est très tendue", a ajouté le porte-parole. Le CICR maintient son personnel à Goma, mais n'a pas pu se déplacer en dehors de la ville.
Source: Dabio
Les habitants de Goma ne se risquaient pas jeudi matin dans les rues. Selon le Comité international de la Croix-Rouge (CICR), la situation humanitaire est catastrophique. Des pillages ont eu lieu dans la ville et des dizaines de milliers de déplacés continuent de fuir les combats entre rebelles et forces gouvernementales.
"Les besoins sont multiples en nourriture, eau, secours médicaux et non alimentaires", a déclaré à Genève un porte-parole de l'organisation.
"Nous craignons que les pillages se poursuivent. La situation est très tendue", a ajouté le porte-parole. Le CICR maintient son personnel à Goma, mais n'a pas pu se déplacer en dehors de la ville.
Source: Dabio