L’Essentiel des publications !
De tous les continents et de tous les pays, les publications trouvent une place pour l'événement planétaire du moment. C’est la position neutre du continent africain qui est le plus signalée. Le « New York Times » parle d’un silence "remarquable", alors que le site d’information « Africa Times » fait un décompte des voix au vote de la résolution de l’ONU et remarque l’absence de 8 pays africains. Une absence que plusieurs commentaires qualifient de méfiance que de neutralité.
La presse Sénégalaise semble divisée sur la question. Pendant que « Le Quotidien » trouve prudente la position Sénégalaise, « Un autre éditorial » retrouve une partie de la population qui soutient Poutine. C’est le site « Dakar actu » qui tente de justifier la position Sénégalaise. Une neutralité “ Responsable" qui fustige l’enrôlement de citoyens sénégalais par le biais de l’Ambassade de l’Ukraine pour aller combattre. "Le Sénégal ne s’emmêle pas”, titre le journal « l’éditorial ».
Il n’y a que la presse européenne et américaine qui affiche catégoriquement sa position sans ambiguïté aucune. Les quotidiens français « Le monde », et « Libération » par exemple ne vont pas par deux chemins pour montrer que Poutine attaque l’Ukraine et provoque toute l’Europe. L’hebdomadaire Britannique « The Economist », trouve en Poutine un jusqu’auboutisme qui a pris ses précautions contre les sanctions économiques.
La presse Sénégalaise semble divisée sur la question. Pendant que « Le Quotidien » trouve prudente la position Sénégalaise, « Un autre éditorial » retrouve une partie de la population qui soutient Poutine. C’est le site « Dakar actu » qui tente de justifier la position Sénégalaise. Une neutralité “ Responsable" qui fustige l’enrôlement de citoyens sénégalais par le biais de l’Ambassade de l’Ukraine pour aller combattre. "Le Sénégal ne s’emmêle pas”, titre le journal « l’éditorial ».
Il n’y a que la presse européenne et américaine qui affiche catégoriquement sa position sans ambiguïté aucune. Les quotidiens français « Le monde », et « Libération » par exemple ne vont pas par deux chemins pour montrer que Poutine attaque l’Ukraine et provoque toute l’Europe. L’hebdomadaire Britannique « The Economist », trouve en Poutine un jusqu’auboutisme qui a pris ses précautions contre les sanctions économiques.
Une Guerre d’information ?
C’est bien évidemment ce qui se passe aujourd’hui dans la presse internationale. On pourrait répartir la presse en trois catégories. D’une part, les médias soutenant Poutine. D’autre part les médias soutenant l’Ukraine. La troisième catégorie est celle qui affiche une neutralité pour une raison ou une autre. C’est en fonction de ces considérations qu’il faudra analyser les informations publiées. Plusieurs observateurs conseillent, la prudence dans le traitement des informations.
Une analyse comparative, permet tout de suite de conclure que l’information donné par les uns et les autres manquent parfois de neutralité. La neutralité de la majorité de la presse africaine ressemble à une méfiance des dirigeants. Il ne faut ni soutenir Poutine ni L’occident qui s’aligne derrière l’Ukraine pour avoir l’un ou l’autre camp au dos. Actuellement, plusieurs pays africains sont en partenariat avec la Russie pour combattre le terrorisme. Alors que l’occident reste un partenaire important dans plusieurs autres domaines.
Une analyse comparative, permet tout de suite de conclure que l’information donné par les uns et les autres manquent parfois de neutralité. La neutralité de la majorité de la presse africaine ressemble à une méfiance des dirigeants. Il ne faut ni soutenir Poutine ni L’occident qui s’aligne derrière l’Ukraine pour avoir l’un ou l’autre camp au dos. Actuellement, plusieurs pays africains sont en partenariat avec la Russie pour combattre le terrorisme. Alors que l’occident reste un partenaire important dans plusieurs autres domaines.
Les bilans de la presse Russe, semblent plus propagandistes que réels. La presse Russe perd d’ailleurs peu à peu sa liberté selon les médias occidentaux. Il y a assez de contraintes liées au métier de journalisme qui remet en cause la liberté de presse qui apparemment n’existe plus. En Russie, il faut soutenir Poutine ou disparaître, selon plusieurs médias opposants. Les quelques médias encore autorisés signalent d’ailleurs des arrestations et emprisonnements de manifestants "anti-invasion". Toute chose que tente de démentir la presse "pro Poutine".
Actuellement, seuls : la BBC, le site indépendant Meduza, et quelques autres médias étrangers sont autorisés à accéder au territoire Russe.
Quant à la presse occidentale et américaine soutenant l’Ukraine, tous les mots sont bons pour condamner Poutine. Des bilans horribles, des images insupportables de civiles en détresse, des infrastructures civiles détruites…Chaque site y va de sa manière pour incriminer l’adversaire.
Comparativement à la méfiance africaine et le manque de crédibilité de la Russie et ses soutiens, les sites occidentaux semblent plus fiables. Plusieurs sites ont d’ailleurs fait l’option de publier en direct les images de la guerre qui ne souffrent d’aucun manque de crédibilité. On pouvait voir la souffrance des civiles qui tentent de rejoindre les pays voisins, les bombardements Russes, les déclarations du président ukrainien.
Si l’heure n’est pas encore au bilan, presque tous les médias sont unanimes sur les lourdes conséquences de cette crise dans le monde. Il n’y a plus une zone sur la planète terre qui ne sente les retombées économiques de ce conflit. Les pays voisins accueillent des milliers de déplacés selon les images publiées.
Actuellement, seuls : la BBC, le site indépendant Meduza, et quelques autres médias étrangers sont autorisés à accéder au territoire Russe.
Quant à la presse occidentale et américaine soutenant l’Ukraine, tous les mots sont bons pour condamner Poutine. Des bilans horribles, des images insupportables de civiles en détresse, des infrastructures civiles détruites…Chaque site y va de sa manière pour incriminer l’adversaire.
Comparativement à la méfiance africaine et le manque de crédibilité de la Russie et ses soutiens, les sites occidentaux semblent plus fiables. Plusieurs sites ont d’ailleurs fait l’option de publier en direct les images de la guerre qui ne souffrent d’aucun manque de crédibilité. On pouvait voir la souffrance des civiles qui tentent de rejoindre les pays voisins, les bombardements Russes, les déclarations du président ukrainien.
Si l’heure n’est pas encore au bilan, presque tous les médias sont unanimes sur les lourdes conséquences de cette crise dans le monde. Il n’y a plus une zone sur la planète terre qui ne sente les retombées économiques de ce conflit. Les pays voisins accueillent des milliers de déplacés selon les images publiées.