Le secrétaire général de l'ONU, Ban Ki-moon, quitte New York samedi pour une tournée de quatre pays d'Asie.
Le chef de l'ONU quittera Bangkok le 11 décembre pour Bali, où il participera jusqu'au 13 à la conférence sur le réchauffement climatique. Des représentants de près de 190 pays y sont réunis jusqu'au 14 décembre afin de tracer une feuille de route de négociations pour prolonger au-delà de 2012 le protocole de Kyoto de réduction des gaz responsables du réchauffement.
www.lemonde.fr
La conférence vise à lancer les négociations en vue d'un nouvel accord devant succéder au protocole de Kyoto, qui expire en 2012.
Les délégués doivent à la fois convaincre les pays riches, comme les Etats-Unis ou le Japon, qui souhaitent voir les pays en développement lutter davantage contre le réchauffement, et les Etats comme la Chine ou l'Inde, qui entendent être payés pour de tels efforts.
La plupart des pays riches sont d'accord sur le fait qu'il est encore trop tôt pour attendre des pays en développement qu'ils limitent leurs émissions, a ajouté de Boer.
Les émissions de gaz à effet de serre atteignent en Chine quatre tonnes par habitant, contre vingt tonnes par habitant aux Etats-Unis.
www.challenges.fr/
Les peuples indigènes se disent "bâillonnés" à la conférence de Bali: ils ont brièvement manifesté en portant symboliquement sur le visage un bâillon affichant les lettres UNFCCC, l'acronyme anglais de la Convention de l'ONU sur les changements climatiques.
"Il n'y a pas de place pour les populations autochtones, il n'y a pas de sièges pour les peuples indigènes", a déploré Marcial Arias, de l'ethnie Kuna du Panama.
"Ils veulent que nous implorions à genoux pour pouvoir prendre la parole, mais nous avons le droit de participer", a-t-il ajouté.
"La convention sur les changements climatiques ne devrait pas écarter les peuples indigènes. Si nous ne pouvons pas nous exprimer, c'est un crime contre l'humanité", a affirmé Alfred Ilenre, de l'ethnie Edo du Nigeria.
www.edicom.ch/
Le chef de l'ONU quittera Bangkok le 11 décembre pour Bali, où il participera jusqu'au 13 à la conférence sur le réchauffement climatique. Des représentants de près de 190 pays y sont réunis jusqu'au 14 décembre afin de tracer une feuille de route de négociations pour prolonger au-delà de 2012 le protocole de Kyoto de réduction des gaz responsables du réchauffement.
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La conférence vise à lancer les négociations en vue d'un nouvel accord devant succéder au protocole de Kyoto, qui expire en 2012.
Les délégués doivent à la fois convaincre les pays riches, comme les Etats-Unis ou le Japon, qui souhaitent voir les pays en développement lutter davantage contre le réchauffement, et les Etats comme la Chine ou l'Inde, qui entendent être payés pour de tels efforts.
La plupart des pays riches sont d'accord sur le fait qu'il est encore trop tôt pour attendre des pays en développement qu'ils limitent leurs émissions, a ajouté de Boer.
Les émissions de gaz à effet de serre atteignent en Chine quatre tonnes par habitant, contre vingt tonnes par habitant aux Etats-Unis.
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Les peuples indigènes se disent "bâillonnés" à la conférence de Bali: ils ont brièvement manifesté en portant symboliquement sur le visage un bâillon affichant les lettres UNFCCC, l'acronyme anglais de la Convention de l'ONU sur les changements climatiques.
"Il n'y a pas de place pour les populations autochtones, il n'y a pas de sièges pour les peuples indigènes", a déploré Marcial Arias, de l'ethnie Kuna du Panama.
"Ils veulent que nous implorions à genoux pour pouvoir prendre la parole, mais nous avons le droit de participer", a-t-il ajouté.
"La convention sur les changements climatiques ne devrait pas écarter les peuples indigènes. Si nous ne pouvons pas nous exprimer, c'est un crime contre l'humanité", a affirmé Alfred Ilenre, de l'ethnie Edo du Nigeria.
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