Des institutions financières s'engagent sur le climat:
Un millier de professionnels de la finance internationale réunis vendredi à Paris pour préparer la conférence climat de décembre sous l'égide de l'Onu ont promis de se mobiliser en faveur de la lutte contre le réchauffement climatique. Une plateforme lancée à l'occasion de cette Journée mondiale de la finance pour le climat, organisée à l'initiative de la Caisse des dépôts et consignations (CDC), de la Banque européenne d'investissement (BEI) et de l'association Europlace, rendra ainsi compte de leurs actions en ce sens. Selon un communiqué publié à l'issue de cette conférence, elle recense déjà plus de 400 investisseurs issus de 30 pays. (Reuters)
La finance peut-elle devenir l’amie du climat ? Les banques font des annonces:
En mars, la Société Générale, BNP Paribas ont annoncé retirer leur argent du projet de mines de charbon Alpha Coal en Australie. Cette semaine, le Crédit Agricole promet de ne plus financer de projets charbons. Les ONG ont mené campagne. De plus en plus de clients préoccupés par le climat pourraient décider de changer de banques. Mais aussi ces projets charbons sont moins rentables et deviennent risqués. Le risque, c’est aussi quelque chose qui compte pour les investisseurs. (Franceinfo.fr)
Climat: les industriels pour un prix clair du carbone:
L’ampleur de la conversion des chefs d’entreprises a de quoi surprendre. Elle irrite, non sans raison, une partie de la société civile. Les Amis de la Terre et Oxfam ont ainsi rappelé dans un rapport rendu public mercredi que les centrales à charbon d’EDF et d’Engie émettaient chaque année respectivement plus de 69 et 81 millions de tonnes de CO2 . «Les émissions de CO2 provoquées par les centrales de ces deux entreprises, dont l’Etat est actionnaire, équivalent à la moitié des émissions de la France», a précisé Malika Peyraut pour l’association écologiste, dans un communiqué publié avec Attac France et les JEDI for Climate et intitulé «Le climat, c’est pas vos affaires». (LeMonde.fr)
Un millier de professionnels de la finance internationale réunis vendredi à Paris pour préparer la conférence climat de décembre sous l'égide de l'Onu ont promis de se mobiliser en faveur de la lutte contre le réchauffement climatique. Une plateforme lancée à l'occasion de cette Journée mondiale de la finance pour le climat, organisée à l'initiative de la Caisse des dépôts et consignations (CDC), de la Banque européenne d'investissement (BEI) et de l'association Europlace, rendra ainsi compte de leurs actions en ce sens. Selon un communiqué publié à l'issue de cette conférence, elle recense déjà plus de 400 investisseurs issus de 30 pays. (Reuters)
La finance peut-elle devenir l’amie du climat ? Les banques font des annonces:
En mars, la Société Générale, BNP Paribas ont annoncé retirer leur argent du projet de mines de charbon Alpha Coal en Australie. Cette semaine, le Crédit Agricole promet de ne plus financer de projets charbons. Les ONG ont mené campagne. De plus en plus de clients préoccupés par le climat pourraient décider de changer de banques. Mais aussi ces projets charbons sont moins rentables et deviennent risqués. Le risque, c’est aussi quelque chose qui compte pour les investisseurs. (Franceinfo.fr)
Climat: les industriels pour un prix clair du carbone:
L’ampleur de la conversion des chefs d’entreprises a de quoi surprendre. Elle irrite, non sans raison, une partie de la société civile. Les Amis de la Terre et Oxfam ont ainsi rappelé dans un rapport rendu public mercredi que les centrales à charbon d’EDF et d’Engie émettaient chaque année respectivement plus de 69 et 81 millions de tonnes de CO2 . «Les émissions de CO2 provoquées par les centrales de ces deux entreprises, dont l’Etat est actionnaire, équivalent à la moitié des émissions de la France», a précisé Malika Peyraut pour l’association écologiste, dans un communiqué publié avec Attac France et les JEDI for Climate et intitulé «Le climat, c’est pas vos affaires». (LeMonde.fr)