Le couple n'est plus la chose essentielle de votre vie, ça ne fonctionne plus, ça ne marche plus". "Nous avons essayé de reconstruire, de rebâtir, de faire passer la famille avant le reste, cette famille recomposée dont tous les Français ont parlé, de la faire passer en priorité, mais ce n'était plus possible. On a tout essayé, j'ai tout essayé. Simplement, ce n'était plus possible". "J'ai rencontré quelqu'un" en 2005, dont "je suis tombée amoureuse", puis "je suis partie" du foyer conjugal, "je suis rentrée à la maison il y a un an" pour "essayer de reconstruire quelque chose"
"J'avais un mari qui était un homme public, je l'ai toujours su, je l'ai accompagné pendant vingt ans. Ce combat a abouti à un endroit, quelque part où je trouve qu'il est formidable (...) Mais moi, je pense que ce n'est pas ma place. Ce n'est plus ma place". "Pendant un an, j'ai essayé de m'engager professionnellement, personnellement, mais ça n'allait pas tous les jours". "Je veux me retirer de la vie publique" car celle-ci "ne me correspond pas", je suis "quelqu'un qui aime l'ombre, la sérénité, la tranquillité". Au sujet de ses absences répétées à des évènements nationaux (vote au deuxième tour de la présidentielle) ou internationaux (départ du G8) "je ne voulais pas me montrer, ne pas m'exposer, mais me protéger".
"J'étais très fière" le soir de son élection à l'Elysée, et "je n'ai jamais voulu faire d'ingérence en quoi que ce soit" dans ses fonctions. "Tout ce qui est nominations, décisions, je ferme la porte du bureau". "Nicolas", dont elle n'a prononcé le prénom qu'une seule fois durant cette interview fleuve, "n'a absolument pas besoin de ce genre de conseils". C'est également Nicolas Sarkozy qui a pris la décision, "sans m'en parler parce qu'il a pensé que c'était bien ou mieux pour" elle, de ne pas la faire auditionner par des parlementaires français sur la libération des infirmières bulgares en Libye. (Entretien avec L'Est Républicain, vendredi 19 octobre)
"J'avais un mari qui était un homme public, je l'ai toujours su, je l'ai accompagné pendant vingt ans. Ce combat a abouti à un endroit, quelque part où je trouve qu'il est formidable (...) Mais moi, je pense que ce n'est pas ma place. Ce n'est plus ma place". "Pendant un an, j'ai essayé de m'engager professionnellement, personnellement, mais ça n'allait pas tous les jours". "Je veux me retirer de la vie publique" car celle-ci "ne me correspond pas", je suis "quelqu'un qui aime l'ombre, la sérénité, la tranquillité". Au sujet de ses absences répétées à des évènements nationaux (vote au deuxième tour de la présidentielle) ou internationaux (départ du G8) "je ne voulais pas me montrer, ne pas m'exposer, mais me protéger".
"J'étais très fière" le soir de son élection à l'Elysée, et "je n'ai jamais voulu faire d'ingérence en quoi que ce soit" dans ses fonctions. "Tout ce qui est nominations, décisions, je ferme la porte du bureau". "Nicolas", dont elle n'a prononcé le prénom qu'une seule fois durant cette interview fleuve, "n'a absolument pas besoin de ce genre de conseils". C'est également Nicolas Sarkozy qui a pris la décision, "sans m'en parler parce qu'il a pensé que c'était bien ou mieux pour" elle, de ne pas la faire auditionner par des parlementaires français sur la libération des infirmières bulgares en Libye. (Entretien avec L'Est Républicain, vendredi 19 octobre)