Toutefois, en raison de sa contre-indication déjà connue chez les patients présentant une maladie cardiaque ou une maladie cérébro-vasculaire, ce médicament ne pourra pas être recommandé, en prévention du cancer du colon, à des personnes ne présentant qu'un risque moyen ou légèrement supérieur.
Ces deux études de grande ampleur, présentées lundi à Washington lors d'un congrès médical consacré au cancer, ont montré que le Celebrex pouvait réduire de 33% à 45% le risque de réapparition de polypes précancéreux chez les patients ayant déjà subi une ablation de ce type de tumeurs.
Pour la première étude, cofinancée par l'Institut national américain sur le cancer (National Cancer Institute) et par le laboratoire Pfizer, plus de 2.000 personnes réparties dans quatre pays (Etats-Unis, Grande-Bretagne, Canada, Australie) ont été traitées soit au Celebrex, soit par une pilule placebo sur trois ans.
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