A 15H45 (14H45 GMT), l'indice parisien abandonnait 85,55 points à 4.788,02 points, au lendemain d'une baisse de 1,37%, et dans un volume de transactions de 4,9 milliards d'euros.
Londres cédait 2,17%, Francfort 2,23% et l'Eurostoxx 50 1,73%. A la Bourse de New York, l'indice Dow Jones reculait de 1,10% et le Nasdaq de 1,34%.
La hausse de l'euro, qui affecte la compétitivité des entreprises européennes, est sensible depuis mercredi et la baisse par la Réserve fédérale américaine de ses taux d'intérêt d'un demi-point. Vers 14H45 GMT, l'euro valait 1,4829 dollar.
La perspective d'une baisse semblable des taux de la part de la Banque centrale européenne paraissait jeudi très lointaine, avec la publication d'une inflation en zone euro au plus haut depuis la création de cette statistique en 1997, à 3,2%.
Par ailleurs, un nouveau rehausseur de crédit, FGIC, a été déchu mercredi par Fitch Ratings de sa note maximale ("AAA") parce qu'il n'a pas levé les capitaux frais indispensables au maintien de cette note.
Les valeurs financières étaient une nouvelles fois attaquées, à l'exception de Société Générale.
"Le marché a l'impression que la crise financière est loin de se limiter au subprime. FGIC doit être recapitalisé, en principe. Mais il y a une grande interrogation relative à la solidité des +AAA+ des rehausseurs de crédit", a expliqué un vendeur d'actions parisien.
Enfin, les opérateurs ont été désagréablement surpris par des demandes hebdomadaires d'allocations chômage aux Etats, qui lors de la semaine close le 26 janvier ont bondi de 21% par rapport à la précédente, à 375.000.
SOCIETE GENERALE (+1,30% à 84,79 euros) est parti à la hausse après l'annonce, par BNP PARIBAS (-3,28% à 64,64 euros), qu'elle réfléchissait à une offre sur sa concurrente, à laquelle "toute l'Europe réfléchit".
DEXIA (-6,05% à 15,69 euros) subit l'impact des mauvaises nouvelles dans le secteur des rehausseurs de crédit, dans lequel il a une filiale, FSA.
CREDIT AGRICOLE (-5,89% à 20,15 euros) et NATIXIS (-4,89% à 11,09 euros) pèsent également sur la tendance.
AXA (-4,80% à 22,20 euros), l'un des principaux émetteurs obligataires du CAC 40, recule malgré la publication d'un chiffre d'affaires annuel bien accueilli par les analystes.
Le CAC 40 en direct
Londres cédait 2,17%, Francfort 2,23% et l'Eurostoxx 50 1,73%. A la Bourse de New York, l'indice Dow Jones reculait de 1,10% et le Nasdaq de 1,34%.
La hausse de l'euro, qui affecte la compétitivité des entreprises européennes, est sensible depuis mercredi et la baisse par la Réserve fédérale américaine de ses taux d'intérêt d'un demi-point. Vers 14H45 GMT, l'euro valait 1,4829 dollar.
La perspective d'une baisse semblable des taux de la part de la Banque centrale européenne paraissait jeudi très lointaine, avec la publication d'une inflation en zone euro au plus haut depuis la création de cette statistique en 1997, à 3,2%.
Par ailleurs, un nouveau rehausseur de crédit, FGIC, a été déchu mercredi par Fitch Ratings de sa note maximale ("AAA") parce qu'il n'a pas levé les capitaux frais indispensables au maintien de cette note.
Les valeurs financières étaient une nouvelles fois attaquées, à l'exception de Société Générale.
"Le marché a l'impression que la crise financière est loin de se limiter au subprime. FGIC doit être recapitalisé, en principe. Mais il y a une grande interrogation relative à la solidité des +AAA+ des rehausseurs de crédit", a expliqué un vendeur d'actions parisien.
Enfin, les opérateurs ont été désagréablement surpris par des demandes hebdomadaires d'allocations chômage aux Etats, qui lors de la semaine close le 26 janvier ont bondi de 21% par rapport à la précédente, à 375.000.
SOCIETE GENERALE (+1,30% à 84,79 euros) est parti à la hausse après l'annonce, par BNP PARIBAS (-3,28% à 64,64 euros), qu'elle réfléchissait à une offre sur sa concurrente, à laquelle "toute l'Europe réfléchit".
DEXIA (-6,05% à 15,69 euros) subit l'impact des mauvaises nouvelles dans le secteur des rehausseurs de crédit, dans lequel il a une filiale, FSA.
CREDIT AGRICOLE (-5,89% à 20,15 euros) et NATIXIS (-4,89% à 11,09 euros) pèsent également sur la tendance.
AXA (-4,80% à 22,20 euros), l'un des principaux émetteurs obligataires du CAC 40, recule malgré la publication d'un chiffre d'affaires annuel bien accueilli par les analystes.
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